Bonjour,
Eu égard à l'expérience philosophique des participants de ce forum, il semblerait que vous ayez été nombreux à poursuivre par le passé des études en philosophie. Terminant, comme j'ai pu l'écrire, ma licence cette année même, j'en profite pour réinterroger mes passions, me comprendre, et par là même, me réorienter. J'aime travailler des textes, fouiner, produire, et transmettre ces fruits. Aussi souhaité-je m'engager dans l'enseignement et la recherche, soit en philosophie, soit en sociologie. Je suis parfaitement conscient qu'il s'agit de disciplines très différente, quoique la dernière soit appelée la petite soeur industrielle de la première (je ne sais plus où, j'aimais bien la formule).
Durant mon cursus et à côté, j'ai pu toucher à des classiques de l'un et de l'autre; le tout dans un cadre universitaire dont je n'ai vu qu'une face. Or pour le contenu théorique comme pour l'environnement, je nage encore de trop dans le vide et aurais besoin d'avis éclairés, les vôtres. Je ne demande bien évidemment pas des réponses exhaustives et précises, si vous avez la bonté d'en publier, mais des pistes, des redéfinitions de mes questions s'il le faut, ou des articles qui pourraient m'éclairer, s'il vous plaît.
Par rapport aux études : masters et mémoires; agrégations; doctorats et thèses, quelles sont les difficultés principales dans l'une et l'autre discipline (pour la sociologie j'entends l'agrégation de Sciences Economiques et Sociales) ? Conseillerez-vous de tenter, ou non, d'obtenir ces diplômes ?
Quelles sont les universités dont l'enseignement semble le plus épanouissant (je suis de Paris Sorbonne) ? L'enseignement supérieur est-il si fermé qu'on le dit aux nouvelles recrues ? Et le secondaire ? A quoi ressemble l'actuel milieu de la recherche en France et dans le monde (effectifs, attitude entre les pairs, ...) ? Vaut-il mieux passer son doctorat dans une autre ville que Paris ? Que pensez-vous de l'enseignement des Grandes Ecoles (Sciences Po Paris, ENS-Paris, EHESS, notamment) ?
Mon ambition n'est pas de révolutionner le domaine dans lequel je me jetterai, ni même d'y devenir un grand, simplement de profiter d'un savoir et d'en faire profiter. De gober mon retard, de le comprendre, et de considérer le tout ensuite.
Eu égard à l'expérience philosophique des participants de ce forum, il semblerait que vous ayez été nombreux à poursuivre par le passé des études en philosophie. Terminant, comme j'ai pu l'écrire, ma licence cette année même, j'en profite pour réinterroger mes passions, me comprendre, et par là même, me réorienter. J'aime travailler des textes, fouiner, produire, et transmettre ces fruits. Aussi souhaité-je m'engager dans l'enseignement et la recherche, soit en philosophie, soit en sociologie. Je suis parfaitement conscient qu'il s'agit de disciplines très différente, quoique la dernière soit appelée la petite soeur industrielle de la première (je ne sais plus où, j'aimais bien la formule).
Durant mon cursus et à côté, j'ai pu toucher à des classiques de l'un et de l'autre; le tout dans un cadre universitaire dont je n'ai vu qu'une face. Or pour le contenu théorique comme pour l'environnement, je nage encore de trop dans le vide et aurais besoin d'avis éclairés, les vôtres. Je ne demande bien évidemment pas des réponses exhaustives et précises, si vous avez la bonté d'en publier, mais des pistes, des redéfinitions de mes questions s'il le faut, ou des articles qui pourraient m'éclairer, s'il vous plaît.
Par rapport aux études : masters et mémoires; agrégations; doctorats et thèses, quelles sont les difficultés principales dans l'une et l'autre discipline (pour la sociologie j'entends l'agrégation de Sciences Economiques et Sociales) ? Conseillerez-vous de tenter, ou non, d'obtenir ces diplômes ?
Quelles sont les universités dont l'enseignement semble le plus épanouissant (je suis de Paris Sorbonne) ? L'enseignement supérieur est-il si fermé qu'on le dit aux nouvelles recrues ? Et le secondaire ? A quoi ressemble l'actuel milieu de la recherche en France et dans le monde (effectifs, attitude entre les pairs, ...) ? Vaut-il mieux passer son doctorat dans une autre ville que Paris ? Que pensez-vous de l'enseignement des Grandes Ecoles (Sciences Po Paris, ENS-Paris, EHESS, notamment) ?
Mon ambition n'est pas de révolutionner le domaine dans lequel je me jetterai, ni même d'y devenir un grand, simplement de profiter d'un savoir et d'en faire profiter. De gober mon retard, de le comprendre, et de considérer le tout ensuite.