C'est un peu l'embrouillamini dans ma tête...
Je comprends, je crois, le doute cartésien, qui est un doute de sophiste (?). Je comprends aussi, je crois, que Husserl va plus loin puisque l'existence du cogito est remise en doute, car il n'est pas une substance mais une attitude.
Mais quand Husserl dit : "j’opère l’épochè phénoménologique qui m’interdit absolument tout jugement portant sur l’existence spatio-temporelle" (Husserl, Ideen I, Livre II « La considération phénoménologique fondamentale », Chap. 1 « La thèse de l’attitude naturelle », §32 « L’épochè phénoménologique ».), je ne comprends plus. Au lieu de douter, donc, il suspend son jugement sur son existence (?). Mais quelle est la différence entre les deux démarches ? Et en quoi l'épochè de Husserl est-elle différente de celle des sceptiques antiques ?
Un grand merci, je sèche complètement.
Je comprends, je crois, le doute cartésien, qui est un doute de sophiste (?). Je comprends aussi, je crois, que Husserl va plus loin puisque l'existence du cogito est remise en doute, car il n'est pas une substance mais une attitude.
Mais quand Husserl dit : "j’opère l’épochè phénoménologique qui m’interdit absolument tout jugement portant sur l’existence spatio-temporelle" (Husserl, Ideen I, Livre II « La considération phénoménologique fondamentale », Chap. 1 « La thèse de l’attitude naturelle », §32 « L’épochè phénoménologique ».), je ne comprends plus. Au lieu de douter, donc, il suspend son jugement sur son existence (?). Mais quelle est la différence entre les deux démarches ? Et en quoi l'épochè de Husserl est-elle différente de celle des sceptiques antiques ?
Un grand merci, je sèche complètement.