Bonjour,
Je suis en train de lire la troisième méditation de Descartes et le passage se situe à la page 294 des œuvres et lettres en Pléiade (1952).
La voici :
Voilà, si une âme compatissante passe par ici et veut bien confirmer ou infirmer ma proposition je l'en remercie par avance...
Je suis en train de lire la troisième méditation de Descartes et le passage se situe à la page 294 des œuvres et lettres en Pléiade (1952).
La voici :
Dois-je comprendre le sens ainsi : " Et je dois m'imaginer que je conçois l'infini par une véritable idée, non pas par la négation de ce qui est fini, de même que je comprends le repos et les ténèbres par la négation du mouvement et de la lumière : ..." ?Et je ne me dois pas imaginer que je ne conçois pas l'infini par une véritable idée, mais seulement par la négation de ce qui est fini, de même que je comprends le repos et les ténèbres par la négation du mouvement et de la lumière...
Voilà, si une âme compatissante passe par ici et veut bien confirmer ou infirmer ma proposition je l'en remercie par avance...