Bonjour,
J'ai lu les textes de René Girard sur Nietzsche. A vrai dire, je n'ai pas tellement envie de résumer les conséquences anti-nietzschéennes de la théorie mimétique, car mes développements miméticiens provoquent toujours le rejet (alors que mes interventions sur d'autres thèmes sont prises en compte normalement). J'aimerais simplement demander si quelqu'un ici a lu Girard afin qu'il ou elle m'explique s'il existe un moyen de réhabiliter Nietzsche après Girard, malgré Girard. La théorie mimétique semble déconstruire - le mot n'est pas juste, je dirais plutôt "dissoudre dans sa limpidité redoutable" - tout le romantisme et toute idéologie du désir.
Cette question m'importe car je préfère le peu que je connais de Nietzsche au raz-de-marée girardien, très démotivant à force de coups de granit. La pensée (?) de Nietzsche en devient faussement vivifiante et simplement vaniteuse. Mais : Girard critique-t-il le "vrai Nietzsche" ou bien un "Nietzsche de confort" ?
J'ai lu les textes de René Girard sur Nietzsche. A vrai dire, je n'ai pas tellement envie de résumer les conséquences anti-nietzschéennes de la théorie mimétique, car mes développements miméticiens provoquent toujours le rejet (alors que mes interventions sur d'autres thèmes sont prises en compte normalement). J'aimerais simplement demander si quelqu'un ici a lu Girard afin qu'il ou elle m'explique s'il existe un moyen de réhabiliter Nietzsche après Girard, malgré Girard. La théorie mimétique semble déconstruire - le mot n'est pas juste, je dirais plutôt "dissoudre dans sa limpidité redoutable" - tout le romantisme et toute idéologie du désir.
Cette question m'importe car je préfère le peu que je connais de Nietzsche au raz-de-marée girardien, très démotivant à force de coups de granit. La pensée (?) de Nietzsche en devient faussement vivifiante et simplement vaniteuse. Mais : Girard critique-t-il le "vrai Nietzsche" ou bien un "Nietzsche de confort" ?