Ce qui est formidable avec Épicure c'est sa volonté d'en finir par une sentence lapidaire avec la peur de la mort.
Tout à fait... On retrouve cela aussi chez Lucrèce me semble-t-il...
Ce qui est formidable avec Épicure c'est sa volonté d'en finir par une sentence lapidaire avec la peur de la mort.
Kthun a écrit:Arendt dit dans La crise de la culture qu'Hobbes craignait, après sa mort, de finir brûlé sur des bûchers.
Silentio a écrit:Kthun a écrit:Arendt dit dans La crise de la culture qu'Hobbes craignait, après sa mort, de finir brûlé sur des bûchers.
Qu'est-ce à dire ? Craignait-il de se retrouver aux Enfers ? Ou que l'on salisse son nom et que l'on brûle ses livres ?