Plutôt obscur à mon sens, vous avez la référence de cette phrase ? Il faudrait probablement en avoir le contexte pour la comprendre.
A la limite, ça me fait même plus penser à du Aristote qu’à du Leibniz. Je suppose que le sujet traité est le dualisme : Aristote voit l’âme comme le principe actif, le moteur du corps. Le dualisme leibnizien est basé sur l’harmonie préétablie entre le corps d’un côté et l’âme de l’autre et interdit tout lien de causalité entre les deux. Du coup, il me semble que la vision leibnizienne colle assez mal à cette phrase…