La métaschizonoïa pour la psychologie Hégélienne.
La métaschizonoïa est un processus psychique double par lequel d’une part l’individu prend conscience de ses contradictions, d’autre part c’est aussi un processus qui engendre une dialectique par thèse et antithèse dont le sujet est la représentation qu’a cet individu de lui-même, sans qu’aucune synthèse ne soit engendrée et dont la résultante est la prise de conscience que c’est cette même dialectique qui définit la totalité de cet individu.
La finalité de ce processus constitue donc pour cet individu comme une ontologie de ce qu’il est, en ce sens qu’il prend conscience que ce qu’il est, est uniquement cette même dialectique.
Le préfixe méta est un préfixe qui provient du grec μετά (meta) (après, au-delà de, avec)
indiquant ici la prise de conscience issue de la finalité du processus.
Schizo comme préfixe du grec σχίζω (« fendre »)
indiquant ici l’impossibilité de synthèse de cette dialectique.
Et enfin noïa du verbe νοέω (percevoir, penser).
La métaschizonoïa est un processus psychique double par lequel d’une part l’individu prend conscience de ses contradictions, d’autre part c’est aussi un processus qui engendre une dialectique par thèse et antithèse dont le sujet est la représentation qu’a cet individu de lui-même, sans qu’aucune synthèse ne soit engendrée et dont la résultante est la prise de conscience que c’est cette même dialectique qui définit la totalité de cet individu.
La finalité de ce processus constitue donc pour cet individu comme une ontologie de ce qu’il est, en ce sens qu’il prend conscience que ce qu’il est, est uniquement cette même dialectique.
Le préfixe méta est un préfixe qui provient du grec μετά (meta) (après, au-delà de, avec)
indiquant ici la prise de conscience issue de la finalité du processus.
Schizo comme préfixe du grec σχίζω (« fendre »)
indiquant ici l’impossibilité de synthèse de cette dialectique.
Et enfin noïa du verbe νοέω (percevoir, penser).