Pas résignation, indifférence. J’énonce juste les faits, et tente d’expliquer pourquoi c’est comme ça.
Et par ailleurs, le sujet ne se soumet pas sans résistance interne, preuve qu’il est en proie au doute et qu’il se confronte à la morale. Une précision qui pourrait être intéressante : les sujets étaient filmés durant l’expérience. On a pu constater d’importants signes montrant la souffrance du sujet face à son obéissance. Le corps du sujet montre que cela le dérange, d’obéir. Il n’obéit pas stoïquement. C’est important de le préciser. Et cela me contredit, quand j’énonce que la morale est souvent omise. C’est donc faux, l’individu s’y confronte, mais souvent elle échoue. En fait, dans cette expérience, le sujet a conscience que ce qu’il fait est mal, le problème est qu’il n’a pas conscience qu’il peut faire quelque chose pour retourner dans le bien. Et comme il se sent prisonnier, il se considère dans l’incapacité d’agir autrement et donc il déculpabilise.
En somme pour régler l’affaire (et c’est risible), apprenez donc à l’homme qu’il est libre.
Et par ailleurs, le sujet ne se soumet pas sans résistance interne, preuve qu’il est en proie au doute et qu’il se confronte à la morale. Une précision qui pourrait être intéressante : les sujets étaient filmés durant l’expérience. On a pu constater d’importants signes montrant la souffrance du sujet face à son obéissance. Le corps du sujet montre que cela le dérange, d’obéir. Il n’obéit pas stoïquement. C’est important de le préciser. Et cela me contredit, quand j’énonce que la morale est souvent omise. C’est donc faux, l’individu s’y confronte, mais souvent elle échoue. En fait, dans cette expérience, le sujet a conscience que ce qu’il fait est mal, le problème est qu’il n’a pas conscience qu’il peut faire quelque chose pour retourner dans le bien. Et comme il se sent prisonnier, il se considère dans l’incapacité d’agir autrement et donc il déculpabilise.
En somme pour régler l’affaire (et c’est risible), apprenez donc à l’homme qu’il est libre.