Je voudrais répondre à votre question Dalva. Je ne crois pas qu'il y ait pour moi, un philosophe en particulier. Mais il me semble bien, qu'il y a des textes qui ont changé ma vision du monde, de façon sans doute plus progressive que révolutionnaire.
Je ne peux pas raisonnablement prétendre « faire » de la philosophie parce que je n'essaie pas tellement de lire ou de comprendre rigoureusement. Je lis comme une personne qui voudrait entrer dans une histoire, pour rêver ; et qui en même temps apprécie la mise en ordre de ce qui se présente chez lui, de manière confuse et désordonnée. J'aime ce rapport thérapeutique (contre l'angoisse) et songeur (pour éveiller l'imagination). Mais il y a aussi un rapport excitant, dans la critique, et face à l'objet de la philosophie qui ne veut pas dévoiler ses « jolies formes » (supposées - rire -).
Je ne peux pas raisonnablement prétendre « faire » de la philosophie parce que je n'essaie pas tellement de lire ou de comprendre rigoureusement. Je lis comme une personne qui voudrait entrer dans une histoire, pour rêver ; et qui en même temps apprécie la mise en ordre de ce qui se présente chez lui, de manière confuse et désordonnée. J'aime ce rapport thérapeutique (contre l'angoisse) et songeur (pour éveiller l'imagination). Mais il y a aussi un rapport excitant, dans la critique, et face à l'objet de la philosophie qui ne veut pas dévoiler ses « jolies formes » (supposées - rire -).