Bonsoir,
Une citation de Platon (ou du moins présentée comme telle) circule beaucoup. On la retrouve sur une foule de sites, blogs, pages facebook et autres. C'est celle-ci :
Pour une lecture plus certaine, j'ai même téléchargé la République sur mon ordinateur pour faire un ctrl + F et ainsi chercher des mots-clés, mais toujours aucune trace de cette citation ou d'un passage qui pourrait lui ressembler.
Voici donc ma question : d'où peut donc bien sortir cette phrase ?! Fait-elle partie de ce musée constitué de citations que l'on prête fallacieusement à des auteurs, ou bien est-elle dissimulée dans un texte méconnu de Platon ?
Je désespère de savoir avec le cœur net la provenance de cette citation...
Une citation de Platon (ou du moins présentée comme telle) circule beaucoup. On la retrouve sur une foule de sites, blogs, pages facebook et autres. C'est celle-ci :
Cette citation m'a interpellé, et j'ai donc décidé, pour être bien certain que Platon a écrit cela, de la retrouver. Cela fait plusieurs heures que je cherche, et rien. J'ai fouillé le livre III de la République, puis le livre II des Lois, puis le Banquet, le Phèdre, rien. J'ai alors cherché sur internet, afin de voir si la citation apparaissait quelque part avec une référence exacte, eh bien toujours rien : tout le monde cite cette phrase sans indiquer nulle part une référence précise où la retrouver.La musique est une loi morale, elle donne une âme à nos cœurs, des ailes à la pensée, un essor à l'imagination. Elle est un charme à la tristesse, à la gaieté, à la vie, à toute chose. Elle est l'essence du temps et s'élève à tout ce qui est de forme invisible, mais cependant éblouissant et passionnément éternelle.
Pour une lecture plus certaine, j'ai même téléchargé la République sur mon ordinateur pour faire un ctrl + F et ainsi chercher des mots-clés, mais toujours aucune trace de cette citation ou d'un passage qui pourrait lui ressembler.
Voici donc ma question : d'où peut donc bien sortir cette phrase ?! Fait-elle partie de ce musée constitué de citations que l'on prête fallacieusement à des auteurs, ou bien est-elle dissimulée dans un texte méconnu de Platon ?
Je désespère de savoir avec le cœur net la provenance de cette citation...