En considérant les propositions suivantes du Monde comme volonté et comme représentation :
1) “Le monde est ma représentation” (LMVR, I, 1, §1).
2) “Ce qui connaît tout le reste, sans être soi-même connu, c’est le sujet. Le sujet est, par suite, le substratum du monde, la condition invariable, toujours sous-entendue de tout phénomène, de tout objet ; car tout ce qui existe, existe seulement pour le sujet.” (LMVR, I, 1, §2).
Je voudrais de l'aide pour examiner les expériences de pensée suivantes.
1) Si des personnes sortent d'une pièce, en ne laissant aucun être conscient dans la pièce, l'intérieur de la pièce s'évanouit-il ? (Question à laquelle je pense que Schopenhauer répondrait par la négative : Plusieurs personnes pouvant partager des représentations (objectives), celles-ci ont une existence distincte de la subjectivité individuelle).
2) Si tous les êtres conscients étaient éradiqués de la surface de l'univers, resterait-il quoi que ce soit ? (Question à laquelle je ne sais pas ce que répondrait Schopenhauer : quelle est l'existence du sujet s'il n'y a aucun individu pour le supporter ?).
Toute aide sera largement appréciée.
1) “Le monde est ma représentation” (LMVR, I, 1, §1).
2) “Ce qui connaît tout le reste, sans être soi-même connu, c’est le sujet. Le sujet est, par suite, le substratum du monde, la condition invariable, toujours sous-entendue de tout phénomène, de tout objet ; car tout ce qui existe, existe seulement pour le sujet.” (LMVR, I, 1, §2).
Je voudrais de l'aide pour examiner les expériences de pensée suivantes.
1) Si des personnes sortent d'une pièce, en ne laissant aucun être conscient dans la pièce, l'intérieur de la pièce s'évanouit-il ? (Question à laquelle je pense que Schopenhauer répondrait par la négative : Plusieurs personnes pouvant partager des représentations (objectives), celles-ci ont une existence distincte de la subjectivité individuelle).
2) Si tous les êtres conscients étaient éradiqués de la surface de l'univers, resterait-il quoi que ce soit ? (Question à laquelle je ne sais pas ce que répondrait Schopenhauer : quelle est l'existence du sujet s'il n'y a aucun individu pour le supporter ?).
Toute aide sera largement appréciée.