Présentation du colloque «Heidegger et “les juifs”» par ses organisateurs : Gérard Bensussan, Joseph Cohen, Hadrien Laroche, Raphaël Zagury-Orly, le 23 janvier à la Bibliothèque nationale de France.
Le discours d’ouverture du colloque «Heidegger et “les juifs”», prononcé par Bruno Racine, président de la Bibliothèque nationale de France
Comment ne pas être heideggérien par Alain Finkielkraut
Heidegger contre la langue allemande : les enjeux du nom juif par Jean-Claude Milner
Conférence de Babette Babich
Pascal David « La pensée calculante – Heidegger et la pensée juive face à l’incalculable »
Gérard Guest « L’épreuve du “danger en l’Être” et le revers de l’impensé »
Blandine Kriegel « Heidegger, le judaïsme et la modernité »
Nicolas de Warren « Heidegger, les Juifs, et la deuxième guerre de Trente Ans »
Gérard Bensussan « Banalité et inscrutabilité de l’antisémitisme »
La politique de Heidegger – par Peter Sloterdijk
L’universel et l’annihilation. L’antisémitisme onto-historial de Heidegger – par Peter Trawny
Niall Keane, « “The Universe Affirms Itself in the Individual” : Metaphysics, Politics, and Nihilism in Heidegger and Jünger » et Mahon O’Brien « The Authentic Dasein of the People »
Agatha Bielik-Robson « Love Strong as Death : Jews against Heidegger »
Conférences de Daniel Dahlstrom, « Heidegger, Scholem, and the Nothingness of Revolution », et de Anthony Steinbock, « Heidegger, Machination and the Jewish question : the Problem of the Gift »
Avishag Zafrani, « Jonas et Heidegger : la sacralisation de l’Être en question »
Christophe Perrin, « Heidegger et Rosenzweig. Entre eux et entre nous »
François Fédier, « Heidegger et le monde juif »