Ce que votre professeur veut vous dire, c'est que dans un texte, chaque argument correspond à une partie (du texte).
Dans votre manuel scolaire, lisez attentivement les pages 466-467 (vous y trouvez les étapes et les conseils pour votre explication). Le point 7 de la page 467 (construire une problématique) indique les deux méthodes : "explication puis approfondissement" (=étude ordonnée) ; "traitement planifié" (=explication linéaire). Si vous choisissez l'explication linéaire, vous risquez des redites. Si vous choisissez l'étude ordonnée, vous aurez cette difficulté en moins, et le problème de la paraphrase ne se posera que pour votre première partie.
Ce que vous avez proposé ce matin ne convient pas (quand vous dites, à la fin : "sans que l'esprit ne soit au courant", vous dites qu'il ne sait pas ce qu'il fait).
Reprenons le texte. On n'y distingue qu'un connecteur logique : "On ne peut donc". C'est un connecteur logique de conséquence. Quelle conséquence tirer des faits psychiques que le psychanalyste Freud désigne ? Tout le début du texte, encore une fois, en est une première explication ; explication que Merleau-Ponty reformule à partir de la phrase : "Avec la psychanalyse" (ce mot apparaît pour la première fois dans le texte =faits psychiques ayant un sens). Qui se charge de mettre au jour le sens, la signification des faits psychiques ? Le psychanalyste. Bref, que dit Merleau-Ponty ? La psychanalyse, comme discipline, est l'interprétation de la vie psychique.
Soyez attentif au sens des mots et des notions, et à ce qu'ils impliquent (implicite). Enfin, si ça peut vous aider, essayez de formaliser le texte, pour repérer les éléments de la réflexion, pour repérer la progression du propos de l'auteur. Un exemple :
(x) "aucune conduite n'est, dans l'homme, le simple résultat de quelque mécanisme corporel" ;
(y) "il n'y a pas, dans le comportement, un centre spirituel et une périphérie d'automatisme" ;
(z) "tous nos gestes participent à leur manière à cette unique activité d'explicitation et de signification qui est nous-mêmes".
Cette seule phrase, la deuxième du texte, comporte trois parties. (y) ajoute quelque chose à (x) ; (z) ajoute quelque chose à (y). Pour le voir, il faut détecter le fil conducteur. Quel est le fil qui tient ensemble ces 3 propositions : chacune d'elle comporte un terme différent, mais dont le sens est le même : conduite, comportement, gestes. Qu'ont-ils de commun ?
Exploitez ces nouvelles indications. Ci-dessous, des conseils méthodologiques issus d'un autre manuel scolaire.
Dans votre manuel scolaire, lisez attentivement les pages 466-467 (vous y trouvez les étapes et les conseils pour votre explication). Le point 7 de la page 467 (construire une problématique) indique les deux méthodes : "explication puis approfondissement" (=étude ordonnée) ; "traitement planifié" (=explication linéaire). Si vous choisissez l'explication linéaire, vous risquez des redites. Si vous choisissez l'étude ordonnée, vous aurez cette difficulté en moins, et le problème de la paraphrase ne se posera que pour votre première partie.
Ce que vous avez proposé ce matin ne convient pas (quand vous dites, à la fin : "sans que l'esprit ne soit au courant", vous dites qu'il ne sait pas ce qu'il fait).
Reprenons le texte. On n'y distingue qu'un connecteur logique : "On ne peut donc". C'est un connecteur logique de conséquence. Quelle conséquence tirer des faits psychiques que le psychanalyste Freud désigne ? Tout le début du texte, encore une fois, en est une première explication ; explication que Merleau-Ponty reformule à partir de la phrase : "Avec la psychanalyse" (ce mot apparaît pour la première fois dans le texte =faits psychiques ayant un sens). Qui se charge de mettre au jour le sens, la signification des faits psychiques ? Le psychanalyste. Bref, que dit Merleau-Ponty ? La psychanalyse, comme discipline, est l'interprétation de la vie psychique.
Soyez attentif au sens des mots et des notions, et à ce qu'ils impliquent (implicite). Enfin, si ça peut vous aider, essayez de formaliser le texte, pour repérer les éléments de la réflexion, pour repérer la progression du propos de l'auteur. Un exemple :
(x) "aucune conduite n'est, dans l'homme, le simple résultat de quelque mécanisme corporel" ;
(y) "il n'y a pas, dans le comportement, un centre spirituel et une périphérie d'automatisme" ;
(z) "tous nos gestes participent à leur manière à cette unique activité d'explicitation et de signification qui est nous-mêmes".
Cette seule phrase, la deuxième du texte, comporte trois parties. (y) ajoute quelque chose à (x) ; (z) ajoute quelque chose à (y). Pour le voir, il faut détecter le fil conducteur. Quel est le fil qui tient ensemble ces 3 propositions : chacune d'elle comporte un terme différent, mais dont le sens est le même : conduite, comportement, gestes. Qu'ont-ils de commun ?
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