Bonjour,
Je m'intéresse au sujet des monades et découvre un peu la chose, donc je risque d'être très naïf. J'ai appris que Leibniz avait emprunté ce concept à Giordano Bruno, mais il est encore plus ancien puisque les grecs l'utilisaient déjà.
C'est par rapport à Leibniz que je m'interroge.
Voilà : Si quelqu'un pouvait me renseigner sur le fil conducteur qui conduit de la monade considérée comme une unité infiniment petite en "contact" avec l'infiniment grand (Dieu), ou plutôt étant son miroir partiel, et la constitution d'une langue universelle binaire, un langage machine, par les recherches de Leibniz en logique. Qu'est-ce qui relie les deux ?
En fait mon problème est celui-ci : si l'existence des monades réfutent l'atomisme et le mécanisme de l'univers, proposés par Descartes, il me paraît étrange d'aboutir, de la part de Leibniz, à la construction d'un langage machine, justement, qui pourrait "tout" résoudre, en ce même univers.
Merci.
Je m'intéresse au sujet des monades et découvre un peu la chose, donc je risque d'être très naïf. J'ai appris que Leibniz avait emprunté ce concept à Giordano Bruno, mais il est encore plus ancien puisque les grecs l'utilisaient déjà.
C'est par rapport à Leibniz que je m'interroge.
Voilà : Si quelqu'un pouvait me renseigner sur le fil conducteur qui conduit de la monade considérée comme une unité infiniment petite en "contact" avec l'infiniment grand (Dieu), ou plutôt étant son miroir partiel, et la constitution d'une langue universelle binaire, un langage machine, par les recherches de Leibniz en logique. Qu'est-ce qui relie les deux ?
En fait mon problème est celui-ci : si l'existence des monades réfutent l'atomisme et le mécanisme de l'univers, proposés par Descartes, il me paraît étrange d'aboutir, de la part de Leibniz, à la construction d'un langage machine, justement, qui pourrait "tout" résoudre, en ce même univers.
Merci.