Super, shub22 ! Merci ! Ca résume parfaitement le bonhomme. On rejoint, là, me semble-t-il, une partie du marxisme si élevée qu'elle frôle le nihilisme sans réellement l'atteindre, puisqu'il est toujours nécessaire d'avoir "du bétail" pour fonctionner donc philosopher... (je me mets dans la peau de Freddy).
Pour encore mieux résumer : puis-je, selon vous, parler de théologie du winner ? Comme ça mes élèves percutent directement "la mort de Dieu" + "la race supérieure", "les gens naturellement supérieurs" au sens étymologique du terme (aristocrates nietzschéens).
Vu que Dieu est obligé de mourir - afin que l'Homme se transcende - et donc -, devienne le surhomme archétypal, autant aborder les choses de cette façon, vu le temps qui m'est imparti... (6 minutes). On remplace donc Dieu par l'aristocrate (étymologiquement : le meilleur qui a le pouvoir), mais tout cela... est-ce naturel ?
Inné ou acquis ?
Je ne pense pas, en toute humilité, pouvoir aborder la pensée de Freddy et discuter de cela vu le chrono limité.
Pourriez-vous m'aider pour ma présentation ? Après, open-bar ! On discutera de ce personnage fascinant, et je compte sur vous pour me piéger avec des questions tordues, voire des sophismes.
Devant une classe, tout est possible.
Ergo : connexion logique entre Marx et Nietzsche ?
Ergo : connexion logique entre Prusse/Allemagne = pensée nietzschéenne ?
Ergo : quel était cet enfant mystique que le petit Freddy ?
Ergo : (parce que je m'y attends) pourquoi ce rejet de Dieu ? la réponse est tellement évidente que je m'attends à des questions piégées
Ergo : connexion logique - détournement idéologique nazi, pourquoi et comment ?
Bien à vous, cdlt,
_Sigma
PS : je vous rappelle une énième fois que je n'ai que 6 minutes... et je suis partiellement aveugle. Je dois donc tout utiliser de mémoire et parfaitement maîtriser.
PPS : je n'aime pas les jeux vidéo mais ceci est l'exemple parfait de l'archétype nietzschéen et... le monstre qu'il peut devenir. Il se trouve que je lui ressemble, avec mes lunettes noires = copie conforme, sauf que j'ai des cheveux blancs métal. Bref : le personnage tue son créateur pour le remplacer, avec un nouvel idéal... qui n'aboutit qu'à sa propre destruction.
Pour encore mieux résumer : puis-je, selon vous, parler de théologie du winner ? Comme ça mes élèves percutent directement "la mort de Dieu" + "la race supérieure", "les gens naturellement supérieurs" au sens étymologique du terme (aristocrates nietzschéens).
Vu que Dieu est obligé de mourir - afin que l'Homme se transcende - et donc -, devienne le surhomme archétypal, autant aborder les choses de cette façon, vu le temps qui m'est imparti... (6 minutes). On remplace donc Dieu par l'aristocrate (étymologiquement : le meilleur qui a le pouvoir), mais tout cela... est-ce naturel ?
Inné ou acquis ?
Je ne pense pas, en toute humilité, pouvoir aborder la pensée de Freddy et discuter de cela vu le chrono limité.
Pourriez-vous m'aider pour ma présentation ? Après, open-bar ! On discutera de ce personnage fascinant, et je compte sur vous pour me piéger avec des questions tordues, voire des sophismes.
Devant une classe, tout est possible.
Ergo : connexion logique entre Marx et Nietzsche ?
Ergo : connexion logique entre Prusse/Allemagne = pensée nietzschéenne ?
Ergo : quel était cet enfant mystique que le petit Freddy ?
Ergo : (parce que je m'y attends) pourquoi ce rejet de Dieu ? la réponse est tellement évidente que je m'attends à des questions piégées
Ergo : connexion logique - détournement idéologique nazi, pourquoi et comment ?
Bien à vous, cdlt,
_Sigma
PS : je vous rappelle une énième fois que je n'ai que 6 minutes... et je suis partiellement aveugle. Je dois donc tout utiliser de mémoire et parfaitement maîtriser.
PPS : je n'aime pas les jeux vidéo mais ceci est l'exemple parfait de l'archétype nietzschéen et... le monstre qu'il peut devenir. Il se trouve que je lui ressemble, avec mes lunettes noires = copie conforme, sauf que j'ai des cheveux blancs métal. Bref : le personnage tue son créateur pour le remplacer, avec un nouvel idéal... qui n'aboutit qu'à sa propre destruction.