Soit, mes exemples sont mauvais, je m'en rends compte maintenant que l'on me montre que la pertinence des faits que j'avance est inexistante, au moment de rédiger, cela me semblait tout à fait pertinent.
Eh bien je pense tout d'abord que la morale est subjective, ainsi selon la morale de Dom Juan, son discours est vrai, logique. Je sous-entends ce que l'on a tendance à penser quand on parle de vérité. On a tendance à penser que la vérité est morale, alors que c'est parfois (souvent) faux. Tout est histoire de modération.
Soit mon exemple présenté dans ce sens n'est pas pertinent. Je pose donc le problème sous un autre angle. Quand Galilée a dit que la terre est ronde, la majorité a trouvé l'idée absurde. L'idée était vraie, pertinente parce qu'il avait des arguments et des observations, pourtant on a dit que c'était faux. Ainsi la vérité dépend donc de la morale ?
Je ne vois pas en quoi cela est logique. Pour moi (l'interlocuteur), ce que vous (l'énonciateur) me dites n'a rien de logique. Cela n'a rien de logique car il me paraît absurde. Quel rapport faites-vous entre la banane de « je ne sais où » et la fourrure de l'ours polaire ? Cela pourrait être vrai, il n'empêche que je ne vois pas la logique là-dedans. Sauf si vous réduisez la logique à une simple affaire de syntaxe et là je ne peux rien dire, votre énoncé est logique mais il n'est pas pertinent. Vous vous méprenez sur la pertinence et la vérité. Il pourrait être vrai, mais présenté comme cela il n'est pas pertinent.
Je prenais pour évident que l'énonciateur voulait faire passer un message à l'interlocuteur, peu importent les intentions de l'énonciateur. Si j'expose un énoncé, la pertinence de ce dernier dépend de moi. Mais dire qu'un énoncé est pertinent signifie qu'il est jugé. Or un jugement dépend de l'interlocuteur plus que de l'énonciateur. Et l'interlocuteur possède un savoir, des avis, des jugements, etc... Il est une personne, un être humain avec ses croyances et ses certitudes. Le jugement dépend donc de l'interlocuteur. La situation est en effet essentielle. Ainsi pourrions-nous dire que l'art de la persuasion tient dans la pertinence ?
Eh bien je pense tout d'abord que la morale est subjective, ainsi selon la morale de Dom Juan, son discours est vrai, logique. Je sous-entends ce que l'on a tendance à penser quand on parle de vérité. On a tendance à penser que la vérité est morale, alors que c'est parfois (souvent) faux. Tout est histoire de modération.
Soit mon exemple présenté dans ce sens n'est pas pertinent. Je pose donc le problème sous un autre angle. Quand Galilée a dit que la terre est ronde, la majorité a trouvé l'idée absurde. L'idée était vraie, pertinente parce qu'il avait des arguments et des observations, pourtant on a dit que c'était faux. Ainsi la vérité dépend donc de la morale ?
Euterpe a écrit:"La banane de Qeqertarsuaq se vend moins bien depuis que l'ours polaire a perdu sa fourrure", c'est logique.
Je ne vois pas en quoi cela est logique. Pour moi (l'interlocuteur), ce que vous (l'énonciateur) me dites n'a rien de logique. Cela n'a rien de logique car il me paraît absurde. Quel rapport faites-vous entre la banane de « je ne sais où » et la fourrure de l'ours polaire ? Cela pourrait être vrai, il n'empêche que je ne vois pas la logique là-dedans. Sauf si vous réduisez la logique à une simple affaire de syntaxe et là je ne peux rien dire, votre énoncé est logique mais il n'est pas pertinent. Vous vous méprenez sur la pertinence et la vérité. Il pourrait être vrai, mais présenté comme cela il n'est pas pertinent.
Je prenais pour évident que l'énonciateur voulait faire passer un message à l'interlocuteur, peu importent les intentions de l'énonciateur. Si j'expose un énoncé, la pertinence de ce dernier dépend de moi. Mais dire qu'un énoncé est pertinent signifie qu'il est jugé. Or un jugement dépend de l'interlocuteur plus que de l'énonciateur. Et l'interlocuteur possède un savoir, des avis, des jugements, etc... Il est une personne, un être humain avec ses croyances et ses certitudes. Le jugement dépend donc de l'interlocuteur. La situation est en effet essentielle. Ainsi pourrions-nous dire que l'art de la persuasion tient dans la pertinence ?