La mort ne fait qu'emmener quelque chose à sa fin, et chaque chose a malheureusement une fin ; la mort est donc inévitable. La mort peut être matérielle, affective ou émotionnelle (par exemple la perte d'un ami et l'oubli d'un ami). On peut même qualifier une langue morte, le latin par exemple (que j'étudie mais en l'étudiant ne revit-elle pas à travers nous ?)
Mais la mort est-elle vraiment la fin ou rien qu'une étape : si l'on considère celle-ci comme la fin, voyant donc chaque chose disparaître les unes après les autres, ou si on la considère comme une étape, la mort est juste une pause entre l'apogée et le renouveau.
De plus, il y a une donnée à prendre en compte. Est-ce que chaque chose se renouvelle ? Et si lesquelles et combien ?
Enfin, est-ce possible d'arrêter ce cercle ou bien devons-nous y faire face ? Car s'il nous est impossible de l'arrêter, alors verrons-nous chaque horreur, chaque guerre se reproduire encore et encore sans pouvoir y faire quelque chose, devrions-nous regarder et ne pas intervenir ? Non, en notre capacité d'Hommes, même si chaque chose a un recommencement, on peut dire qu'il existe une fin absolue qui, par l'intermédiaire du tabou, du silence et de l'oubli, détruit petit à petit quelque chose car n'oublions pas que se rappeler de quelque chose ou de quelqu'un c'est continuer à le faire vivre.
Mais la mort est-elle vraiment la fin ou rien qu'une étape : si l'on considère celle-ci comme la fin, voyant donc chaque chose disparaître les unes après les autres, ou si on la considère comme une étape, la mort est juste une pause entre l'apogée et le renouveau.
De plus, il y a une donnée à prendre en compte. Est-ce que chaque chose se renouvelle ? Et si lesquelles et combien ?
Enfin, est-ce possible d'arrêter ce cercle ou bien devons-nous y faire face ? Car s'il nous est impossible de l'arrêter, alors verrons-nous chaque horreur, chaque guerre se reproduire encore et encore sans pouvoir y faire quelque chose, devrions-nous regarder et ne pas intervenir ? Non, en notre capacité d'Hommes, même si chaque chose a un recommencement, on peut dire qu'il existe une fin absolue qui, par l'intermédiaire du tabou, du silence et de l'oubli, détruit petit à petit quelque chose car n'oublions pas que se rappeler de quelque chose ou de quelqu'un c'est continuer à le faire vivre.