Euterpe a écrit: On connaît la chanson sans cesse rebattue par les trous du Q.I. qui n'y entendent rien. Ceux qui recourent au dogme popperien sans jamais avoir lu Popper n'ont manifestement jamais lu Imre Lakatos.
Monsieur, vous me rendez triste. La confusion de vos propos ne peut être attribu
ée qu'à deux causes. Soit vous n'avez pas lu Lakatos, soit vous ne connaissez pas Popper. Si l'heuristique et la valeur prédictive de Lakatos
peuvent sembler
aux lecteurs superficiels plus souple
s que le principe de réfutabilité de Popper, les deux s'entendront pour dire que la psychanalyse n'est pas science.
Je vous soupçonne de feindre penser, ce qui est bien pire que penser faux ou même d'être ignorant. La seule option alternative étant que vous souffrez de boursoufflure aux chevilles, dans ce cas veuillez accepter mes condoléances.
Vraiment, une objection pertinente que vous pouviez me faire ici c'est que les neurosciences commencent à apporter des début
s de preuves quant à l'existence de processus inconscients, notamment en ce qui concerne l'anxiété. Ce qui ne
valide pas l'ensemble des concepts de Freud, pour ne parler que de lui.
On ne découvre que ce qu'il y a. Tout le monde n'a pas de psyché, ne vous en déplaise.
Prenez garde, on pourrait penser que vous abondez dans mon sens.
Vous ne rapportez rien. En guise d'expectorant, on trouve mieux.
En guise de réplique cinglante, on trouve mieux aussi. Et bien sûr vous avez une fois de plus éludé la question en vous masquant derrière la morgue.
Vous voulez jouer au jeu du dictionnaire avec moi ? A vos risques et périls. Votre définition est nettement incomplète.
Les jeux de dictionnaires sont pour ceux qui manquent d'arguments. Je vous explique simplement pourquoi j'utilise un mot. Mais bien sûr il est apparent qu'il vous dépl
aît en réalité d'en présenter. D'ailleurs je me demande même si vous avez
quoi que que ce soit d'intelligent à dire sur le sujet. Quelle est votre position exactement ?
Ma position est claire, les fans de la psychanalyse ont toute liberté d'y trouver du sens. Mais qu'ils ne s'offusqu
ent pas quand on décrit la manière dont elle fait école.
Non, vous n'avez rien constaté. Votre ignorance ne vous permet pas de savoir que Jaspers est psychiatre de métier. Vous pouvez déjecter vos inepties en donnant le change sur les forums innombrables où pullulent les décérébrés, vous vous exposez au ridicule dans un forum de philosophie.
Décidément votre propension à vous auto-congratuler en rabrouant l'autre (pervers sadique) vous rend hermétique à toute ironie. Par ailleurs c'est vous qui vous exposez au ridicule en révélant l’abîme de votre confusion, car
Jaspers en tant que psychiatre critiquait sévèrement la méthodologie de Freud, et son approche de la diagnostique était diamétralement opposée à
celle de ce dernier.
Commencez par apprendre où sont les frontières. Ensuite seulement on pourra vous aider à comprendre de quoi on parle quand on en parle.
Je crains que vous ne me prêtiez vos propres turpitudes.
Non. Cherchez du côté de Wilhelm Fliess, de Jung et de Romain Rolland.
Didier Anzieu vous donner
a tort. Avez-vous des argument
s pour lui rendre la pareille ? N'est-il pas risible que vous ne puissiez pas vous mettre d'accord
?Vous racontez vraiment n'importe quoi.
Je ne fais que reprendre vos images bananières.
Même s'il vous était donné de vivre un siècle, vous n'auriez pas assez de temps pour compter les formes de la schizophrénie, dont la résistance est variable. Ça vous permettra de comprendre qu'il n'y a pas d'unanimité sur cette question.
Savez-vous seulement de quoi vous parlez
? Contrairement à la psychanalyse, les termes employés pour le diagnostic psychiatrique ont un sens précis, qui ne
varie pas d'une approche théorique à une autre et les différentes catégories de schizophrénies sont clairement définies (à tort ou à raison, mais elles le sont). Les études montrent que la psychanalyse n'a aucun effet sur celles-ci, alors qu'une amélioration est observable pour les troubles de l'humeur (encore qu'il y n'ait jamais eu de RTC stricte).
L'inconscient c'est bien le symptôme des névrosés, qu'ils soulagent en allant se le faire cajoler chez le psychanalyste.
L'autisme n'est pas un objet psychologique ou psychanalytique. Et il est scandaleux qu'en France on ait tardé à sévir sur ce plan. Évitons de confondre autisme et schizophrénie
Faites donc le reproche
aux psychanalystes que vous défendez mordicus, pour on ne sait quelle raison d'ailleurs, qui perpétuellement obscurcissent le discours en ne sachant
eux-mêmes se mettre d'accord sur l'objet de leur discipline sectaire.