Freud a employé le terme de névrose narcissique qui a l'origine devait se distinguer de la névrose de transfert: elle renvoyait à un repli des pulsions sur le Moi.
Il a très vite abandonné ce terme qui en fait finissait par renvoyer aux psychoses suivant le partage initial qu'il a effectué entre psychoses et névroses au cours de l'établissement de sa nosologie des pathologies et affections mentales.
Les psychanalystes et psychiatres ont abandonné ce terme par la suite.
Il est probable que Freud voulait parler et s'intéresser aux psychoses en prenant ce terme de névrose narcissique mais c'est quelque chose qu'il n'a finalement jamais fait ou accompli à la différence d'un Lacan ou d'autres par exemple.
Freud ne s'intéressait qu'à ce qu'il pouvait soigner c-a-d les névroses.
Quant à la ou aux perversions, ce terme s'il est abondamment employé par Freud ou d'autres, il a fait l'objet d'une critique et a été très décrié au moment de Mai 68 et après: voir un numéro de la revue Recherche en 1973 consacré aux homosexualités et intitulé "3 milliards de pervers". La question du rapport entre normalité (surtout de type sociale) et la psychiatrie envisagée comme traitement de "l'anormalité"...
Les électrochocs et camisoles chimiques étaient courants encore à cette époque: maintenant je ne sais pas mais je ne crois pas. Les psychiatres ont quasiment abandonné ce type de traitements.
Il a très vite abandonné ce terme qui en fait finissait par renvoyer aux psychoses suivant le partage initial qu'il a effectué entre psychoses et névroses au cours de l'établissement de sa nosologie des pathologies et affections mentales.
Les psychanalystes et psychiatres ont abandonné ce terme par la suite.
Il est probable que Freud voulait parler et s'intéresser aux psychoses en prenant ce terme de névrose narcissique mais c'est quelque chose qu'il n'a finalement jamais fait ou accompli à la différence d'un Lacan ou d'autres par exemple.
Freud ne s'intéressait qu'à ce qu'il pouvait soigner c-a-d les névroses.
Quant à la ou aux perversions, ce terme s'il est abondamment employé par Freud ou d'autres, il a fait l'objet d'une critique et a été très décrié au moment de Mai 68 et après: voir un numéro de la revue Recherche en 1973 consacré aux homosexualités et intitulé "3 milliards de pervers". La question du rapport entre normalité (surtout de type sociale) et la psychiatrie envisagée comme traitement de "l'anormalité"...
Les électrochocs et camisoles chimiques étaient courants encore à cette époque: maintenant je ne sais pas mais je ne crois pas. Les psychiatres ont quasiment abandonné ce type de traitements.