Liber a écrit:A mon avis, ce ne peut être qu'un amour des idées, l'amour d'une idée de l'humanité.
Une autre alternative se trouve peut-être chez Spinoza, voire Aristote. L'amour joyeux, qui n'est plus manque, mais puissance, puissance de l'être
Liber a écrit:A mon avis, ce ne peut être qu'un amour des idées, l'amour d'une idée de l'humanité.
Aristippe de cyrène a écrit:Liber a écrit:A mon avis, ce ne peut être
qu'un amour des idées, l'amour d'une idée de l'humanité.
Une autre alternative se trouve peut-être chez Spinoza, voire Aristote. L'amour joyeux, qui n'est plus manque, mais puissance, puissance de l'être
Aristippe de cyrène a écrit:D'abord l'amour des idées chez Spinoza ? Pourriez-vous expliciter, car là je ne vois pas ce qui vous fait dire cela...
toniov a écrit:Aristippe de cyrène a écrit:D'abord l'amour des idées chez Spinoza ? Pourriez-vous expliciter, car là je ne vois pas ce qui vous fait dire cela...
Ce que je veux dire c'est que la philosophie ce sont des idées, au départ. Par exemple, chez Spinoza, le panthéisme. Et on peut éprouver de la passion pour ses idées comme on peut en éprouver pour une personne aimée et désirée.
Il est certain que l'amour passion peut donner à notre vie un "piquant" qui la rend - par moments - merveilleuse. Mais c'est une "merveille" qui n'a rien d'exceptionnel : chacun de nous peut la goûter. Et c'est très bien. Mais un "génie" peut en faire autre chose. Il crée. De la musique, de la peinture, des mathématiques, de la philosophie... etc. Bien sûr, et heureusement, cela n'est pas réservé aux seuls génies. Tout le monde peut "créer". Mais pas forcément avec génie.