Bonsoir.
Je me questionne depuis un certain temps sur la place du travail à l'échelle commune et personnelle dans les sociétés modernes et développées. Il me semble que le travail n'est pas un choix personnel réalisé par les individus mais qu'il découle du besoin de s'affirmer dans la société, de se rendre utile et surtout de subvenir à ses besoins grâce à la paye octroyée en conséquence. Je ne remets pas en cause le besoin de certaines personnes d'agir sur leur environnement et d'étendre leur savoir sur une discipline ; je m'interroge seulement sur la liberté relative à un choix qui n'en est pas un.
Aujourd'hui, nous "choisissons" le métier qui nous plaît par défaut car nous sommes contraints de travailler et ceci en rapport avec les causes citées en gras ci-dessus. La contrainte nous pousse à choisir la profession qui pourrait nous plaire et nous correspondre un temps soit peu et cela nous ferait oublier le fait que nous sommes obligés de travailler pour subvenir à nos besoins. Le fait que la majorité des individus n'en aient pas conscience ne réduit en rien cette affirmation qui fait l'objet d'un réel problème pour les autres personnes qui subissent ce modèle de société enchaînant les hommes dès leur naissance à un sort proprement égoïste et utilitaire.
Le fait même d'être né constitue en soi une contrainte. Cela est suivi par l'environnement dans lequel beaucoup d'entre nous naissent ; des familles qui ne sont pas forcément aisées financièrement. C'est alors que le besoin de travailler pour subvenir soi-même à ses propres besoins s'impose. Où se situe l'action de la sagesse dans tout cela ?
Devons-nous simplement avoir conscience de ces contraintes ?
Devons-nous être conscients de ne pas être libres et de ne jamais pouvoir l'être ?
Que pouvons-nous poursuivre si la liberté et le bonheur sont tout aussi inatteignables que d'essayer de rattraper l'horizon ?
Faut-il forcément devenir ermite pour se dire "en dehors du système" ?
Je vous remercie par avance de votre réponse.
Je me questionne depuis un certain temps sur la place du travail à l'échelle commune et personnelle dans les sociétés modernes et développées. Il me semble que le travail n'est pas un choix personnel réalisé par les individus mais qu'il découle du besoin de s'affirmer dans la société, de se rendre utile et surtout de subvenir à ses besoins grâce à la paye octroyée en conséquence. Je ne remets pas en cause le besoin de certaines personnes d'agir sur leur environnement et d'étendre leur savoir sur une discipline ; je m'interroge seulement sur la liberté relative à un choix qui n'en est pas un.
Aujourd'hui, nous "choisissons" le métier qui nous plaît par défaut car nous sommes contraints de travailler et ceci en rapport avec les causes citées en gras ci-dessus. La contrainte nous pousse à choisir la profession qui pourrait nous plaire et nous correspondre un temps soit peu et cela nous ferait oublier le fait que nous sommes obligés de travailler pour subvenir à nos besoins. Le fait que la majorité des individus n'en aient pas conscience ne réduit en rien cette affirmation qui fait l'objet d'un réel problème pour les autres personnes qui subissent ce modèle de société enchaînant les hommes dès leur naissance à un sort proprement égoïste et utilitaire.
Le fait même d'être né constitue en soi une contrainte. Cela est suivi par l'environnement dans lequel beaucoup d'entre nous naissent ; des familles qui ne sont pas forcément aisées financièrement. C'est alors que le besoin de travailler pour subvenir soi-même à ses propres besoins s'impose. Où se situe l'action de la sagesse dans tout cela ?
Devons-nous simplement avoir conscience de ces contraintes ?
Devons-nous être conscients de ne pas être libres et de ne jamais pouvoir l'être ?
Que pouvons-nous poursuivre si la liberté et le bonheur sont tout aussi inatteignables que d'essayer de rattraper l'horizon ?
Faut-il forcément devenir ermite pour se dire "en dehors du système" ?
Je vous remercie par avance de votre réponse.