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La qualité de l’acte qui manifesterait une acceptation du réel et en même temps un désir de dépassement du temps comme mouvement de la matière, de la vie et de la pensée, c’est la relation, car bien qu’elle ne soit existante que par appropriation de quelque chose qui n’est pas elle, puisqu’elle est un lien entre deux autres réalités qu’elle même, la relation peut manifester la qualité unitive et la qualité d’unicité en un seul acte, et de tous les actes dont un vivant (humain) est capable, un seul rassemble l’unicité et l’union comme relation, c’est l’acte contemplatif…
La relation amicale est déjà quelque chose qui manifeste l’unicité et l’union affective, "l'ami est un autre soi même", c’est pourquoi Aristote place l’amitié et la contemplation comme les deux finalités de la nature humaine, la vie public politique n’est qu’un moyen pour que soient rendues possible ces deux finalités, car en t’en que telle la socialisation n’a pas d’autre fin que le vivre ensemble, qui est un bien relatif au bonheur personnel, qui ne se trouve réalisé qu’avec la contemplation et l’amitié…
C’est pourquoi la recherche de l’éternité passe par une stabilisation des passions via les vertus, dans le seul but que l’exercice concret de la contemplation et de l’amitié soit possible, alors que pour la vie politique, sociale, l’exercice des vertus est réclamées comme garantie du bien vivre, et se trouve donc être la finalité même de cette vie sociale, l’histoire nous donne à voir que la vie humaine qui se cherche dans une forme de socialisation avec de plus en plus de savoirs et de moins en moins de vertus, va à sa perte et entraîne une partie de la nature dans sa chute…
Si l’humanité retrouvait la voie de la contemplation et de l’amitié comme première intention et motivation de la vie personnelle et collective, alors sans doute la notion de survivance éternelle du bien commun serait visiblement en acte dans ce monde…
La qualité de l’acte qui manifesterait une acceptation du réel et en même temps un désir de dépassement du temps comme mouvement de la matière, de la vie et de la pensée, c’est la relation, car bien qu’elle ne soit existante que par appropriation de quelque chose qui n’est pas elle, puisqu’elle est un lien entre deux autres réalités qu’elle même, la relation peut manifester la qualité unitive et la qualité d’unicité en un seul acte, et de tous les actes dont un vivant (humain) est capable, un seul rassemble l’unicité et l’union comme relation, c’est l’acte contemplatif…
La relation amicale est déjà quelque chose qui manifeste l’unicité et l’union affective, "l'ami est un autre soi même", c’est pourquoi Aristote place l’amitié et la contemplation comme les deux finalités de la nature humaine, la vie public politique n’est qu’un moyen pour que soient rendues possible ces deux finalités, car en t’en que telle la socialisation n’a pas d’autre fin que le vivre ensemble, qui est un bien relatif au bonheur personnel, qui ne se trouve réalisé qu’avec la contemplation et l’amitié…
C’est pourquoi la recherche de l’éternité passe par une stabilisation des passions via les vertus, dans le seul but que l’exercice concret de la contemplation et de l’amitié soit possible, alors que pour la vie politique, sociale, l’exercice des vertus est réclamées comme garantie du bien vivre, et se trouve donc être la finalité même de cette vie sociale, l’histoire nous donne à voir que la vie humaine qui se cherche dans une forme de socialisation avec de plus en plus de savoirs et de moins en moins de vertus, va à sa perte et entraîne une partie de la nature dans sa chute…
Si l’humanité retrouvait la voie de la contemplation et de l’amitié comme première intention et motivation de la vie personnelle et collective, alors sans doute la notion de survivance éternelle du bien commun serait visiblement en acte dans ce monde…