Il y a des choses qui ne peuvent s'entendre sur le net : mais si vous tendez bien l'oreille vous entendrez le rire franc et puissant de friedrich crap, un rire comme Nietzsche les aimait (cet ennemi absolu du totalitarisme, vous m'entendez Euterpe ? ennemi absolu du totalitarisme dont la pensée respire la liberté).
Non mais regardez-moi ça ?! D'un côté notre jeune ami Aristippe qui ne sait pas comment parler à Euterpe sans prendre le risque de déclencher sa colère et sa déconsidération. Et puis on demande aux uns ce que l'on n'exige pas des autres. Mais Liber est là pour soutenir son pote ! "On ne cite pas toujours les philosophes dont on interprète la pensée". Cela n'est exigé que dans un sens.
Et puis il y a le grand patron. Non mais franchement :
- où avez vous lu de ma part une présentation totalisatrice de la philosophie de Nietzsche ?
- vous demandez sans cesse de justifier et d'argumenter mais vous ne vous y abaissez pas dans les circonstances qui peuvent vous mettre en défaut. Soyons honnête 5 mn : dire que Nietzsche se donne l'aphorisme comme une contrainte , c'est tout de même limite sans justificatif !
- votre présentation de la normalité comme la nuit où toutes les vaches sont grises : dire abruptement que l'homme est monstrueux (comment peut-il être, et normal et monstrueux, et jaloux, et égoïste mais alors l'homme est l'homme ! Si plusieurs qualités caractérisent l'homme, c'est qu'il est complexe et c'est vous qui avez un lexique totalisateur (comme je suis honnête je dirai réducteur).
- vous me faites la leçon sur le fait que j'oublie dans mes échanges avec Poussepain le fonctionnement du Droit (mettons depuis 1804 selon lui). D'un côté le Droit est une production de la société occidentale qu'il faut respecter à la lettre, mais par ailleurs la psychologie, - la psychanalyse aussi j'imagine (dont je comprends très clairement pourquoi elle n'ont pas vos faveurs) - sont seulement des produits de société qui empêchent de voir l'homme tel qu'il est. Non mais dites donc ! Cet homme immuable qui vous amène au relativisme culturel (les Papous et nous), c'est encore une nuit de vaches grises !
J'arrête là car je n'ai pas que cela à faire... Euterpe, je vous le dis avec le plus grand respect : votre réaction à mon égard est sans commune mesure avec ce que j'écris réellement. C'est vous qui refusez le plus souvent la discussion et qui fermez les portes (je vous rappelle que d'autres nous lisent et jugent par eux-mêmes. (Sur le point d'accord que nous avons trouvé sur le topic consacré à la vérité, c'est moi qui ai repris inlassablement la discussion, me trompé-je ? Et j'ai été le seul à vous remercier pour cet échange : vous m'avez répondu "ça fait plaisir").
Je suis arrivé sur se site en voulant sincèrement apporter une contribution (que d'autres n'ont pas dédaignée). Mais là ! les bras m'en tombent...
Si vous persévérez dans votre attitude proprement tyrannique envers mes interventions (et parfois envers d'autres, un autre jeune ami du site doit encore se souvenir de votre dernier courroux), c'est moi qui ne produirai plus sur ce site. Non mais pour qui vous prenez-vous ?
La pratique philosophique, cela ne consiste pas à accepter comme seule adversité des disciples et des miroirs.
Non mais regardez-moi ça ?! D'un côté notre jeune ami Aristippe qui ne sait pas comment parler à Euterpe sans prendre le risque de déclencher sa colère et sa déconsidération. Et puis on demande aux uns ce que l'on n'exige pas des autres. Mais Liber est là pour soutenir son pote ! "On ne cite pas toujours les philosophes dont on interprète la pensée". Cela n'est exigé que dans un sens.
Et puis il y a le grand patron. Non mais franchement :
- où avez vous lu de ma part une présentation totalisatrice de la philosophie de Nietzsche ?
- vous demandez sans cesse de justifier et d'argumenter mais vous ne vous y abaissez pas dans les circonstances qui peuvent vous mettre en défaut. Soyons honnête 5 mn : dire que Nietzsche se donne l'aphorisme comme une contrainte , c'est tout de même limite sans justificatif !
- votre présentation de la normalité comme la nuit où toutes les vaches sont grises : dire abruptement que l'homme est monstrueux (comment peut-il être, et normal et monstrueux, et jaloux, et égoïste mais alors l'homme est l'homme ! Si plusieurs qualités caractérisent l'homme, c'est qu'il est complexe et c'est vous qui avez un lexique totalisateur (comme je suis honnête je dirai réducteur).
- vous me faites la leçon sur le fait que j'oublie dans mes échanges avec Poussepain le fonctionnement du Droit (mettons depuis 1804 selon lui). D'un côté le Droit est une production de la société occidentale qu'il faut respecter à la lettre, mais par ailleurs la psychologie, - la psychanalyse aussi j'imagine (dont je comprends très clairement pourquoi elle n'ont pas vos faveurs) - sont seulement des produits de société qui empêchent de voir l'homme tel qu'il est. Non mais dites donc ! Cet homme immuable qui vous amène au relativisme culturel (les Papous et nous), c'est encore une nuit de vaches grises !
J'arrête là car je n'ai pas que cela à faire... Euterpe, je vous le dis avec le plus grand respect : votre réaction à mon égard est sans commune mesure avec ce que j'écris réellement. C'est vous qui refusez le plus souvent la discussion et qui fermez les portes (je vous rappelle que d'autres nous lisent et jugent par eux-mêmes. (Sur le point d'accord que nous avons trouvé sur le topic consacré à la vérité, c'est moi qui ai repris inlassablement la discussion, me trompé-je ? Et j'ai été le seul à vous remercier pour cet échange : vous m'avez répondu "ça fait plaisir").
Je suis arrivé sur se site en voulant sincèrement apporter une contribution (que d'autres n'ont pas dédaignée). Mais là ! les bras m'en tombent...
Si vous persévérez dans votre attitude proprement tyrannique envers mes interventions (et parfois envers d'autres, un autre jeune ami du site doit encore se souvenir de votre dernier courroux), c'est moi qui ne produirai plus sur ce site. Non mais pour qui vous prenez-vous ?
La pratique philosophique, cela ne consiste pas à accepter comme seule adversité des disciples et des miroirs.