"Le pluriel du participe est utilisé. "Etant", en grec, c'est "on" [omicron-nu] tout simplement mais c'est "onta" au pluriel [omicron-nu-teta-alpha]. "Onta" ce sont les étants. En grec on utilise un neutre pluriel. Il y a aussi un participe masculin, un participe féminin près du participe neutre. Pour dire "les hommes qui existent" il y avait une forme, "les femmes qui existent" une autre forme. Mais quand on dit "onta" on parle des choses qui existent. C'est un pluriel neutre qui fait appel, allusion à quelque chose de général. C'est le sens générique. Le sens du mot "onta" (non pas la traduction qui est : "étants") ce sont les choses concrètes ou abstraites, les choses matérielles ou spirituelles. On rajoute un article neutre, "ta", qui n'est ni masculin ni féminin. "ta onta" : les chose qui existent, "les étants".
Dès que la philosophie commence à regarder les choses, elle regarde "ta onta". Le premier philosophe pose le regard sur les choses et il se pose des questions sur les choses, est-ce que toutes les choses sont semblables ? Toutes les questions posées par les premiers philosophes concernent "ta onta". Déjà en grec dire les choses cela veut dire les étants. Que sont "les étants" ? Est ce qu'il y a "des étants" privilégiés ? Quelle est l'origine des "étants" ?
Dès que la philosophie commence à regarder les choses, elle regarde "ta onta". Le premier philosophe pose le regard sur les choses et il se pose des questions sur les choses, est-ce que toutes les choses sont semblables ? Toutes les questions posées par les premiers philosophes concernent "ta onta". Déjà en grec dire les choses cela veut dire les étants. Que sont "les étants" ? Est ce qu'il y a "des étants" privilégiés ? Quelle est l'origine des "étants" ?