Certains disent que le temps est notre ennemi, qu'il est la raison de "l'érosion" de la beauté ou que parfois on le perd (mais alors perdais-je du temps à venir consulter des philosophes que je connais à peine ; seul le temps me le dira, non ?).
Mais, comment traduisons-nous le temps ?
Pour moi qui ne suis qu'au collège, je pense que le temps n'est rien qu'une demi-droite dont le point de départ est le "présent", ce présent qui est passé en seulement quelques secondes, ce présent dont on ne peut vraiment savoir quand il se passe, bref, et cette demi-droite s'étend vers l'avenir. Alors qu'est-ce que le passé ? Le passé est non plus une droite mais des pointillés (désolé j'ai perdu le mot) dont la mémoire ne se souvient qu'avec un travail de reconstruction. La fin de la droite n'existe réellement pas car même si l'on meurt on va se souvenir de nous, donc en conséquence la mort n'est "que" le passage de cette droite en pointillés. Alors les pointillés du passé ne sont que des années mortes ou même des jours, heures, minutes, secondes...
Donc, le temps est une unité de mesure qui est divisée par la mort et que l'on considère seulement en cas de manque, pas de surplus.
Mais, comment traduisons-nous le temps ?
Pour moi qui ne suis qu'au collège, je pense que le temps n'est rien qu'une demi-droite dont le point de départ est le "présent", ce présent qui est passé en seulement quelques secondes, ce présent dont on ne peut vraiment savoir quand il se passe, bref, et cette demi-droite s'étend vers l'avenir. Alors qu'est-ce que le passé ? Le passé est non plus une droite mais des pointillés (désolé j'ai perdu le mot) dont la mémoire ne se souvient qu'avec un travail de reconstruction. La fin de la droite n'existe réellement pas car même si l'on meurt on va se souvenir de nous, donc en conséquence la mort n'est "que" le passage de cette droite en pointillés. Alors les pointillés du passé ne sont que des années mortes ou même des jours, heures, minutes, secondes...
Donc, le temps est une unité de mesure qui est divisée par la mort et que l'on considère seulement en cas de manque, pas de surplus.