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Le travail.

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4 participants

descriptionLe travail. - Page 4 EmptyRe: Le travail.

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Janus a écrit:
Le Vicaire a écrit:
J'ai bien peur qu'on s'éloigne un peu du sujet, les psychanalystes sont charmants, ils ne veulent vraiment pas nous séparer de papa maman Le travail. - Page 4 457303841Pouvez vous m'indiquez en quoi je justifie l'injustifiable ?
"Papa maman", une manière comme une autre de tourner la psychanalyse en dérision lorsqu'elle dit des vérités qu'on ne veut pas entendre..... Mais ce n'était pas pour faire un hors sujet, juste pour dire que vous énoncez des théories plus ou moins élaborées qui se prétendent "raisonnées, mais qui n'ont visiblement qu'un but : dévaloriser le travail, alors que pour d'autres le travail est une valeur. Alors il suffirait de le dire tout simplement : comme certains aiment les fraises, d'autres non, pour le travail c'est pareil, pas besoin de justifier ou chercher des tas de prétextes, on n'aime pas ou on aime, c'est tout.


Je crois que vous n'y êtes pas du tout. Mon propos n'est pas d'expliquer que le travail "c'est bien ou c'est pas bien" mais porte sur l'idée qu'un travail peut aussi ne pas correspondre à un principe que l'on pense ou croit supérieur et qui n'est pas inscrit précisément dans l'activité à accomplir. Ce principe est hérité de la réflexion que je porte sur mon activité. L'éloge du travail, de son amour ou plutôt de sa réelle et profonde finalité on le trouve chez Marx, vous trouverez chez Nietzsche tout l'inverse dans un célèbre texte sur la glorification du travail (Aurore). Quant aux vérités (interprétations seraient plus correct) de la psychanalyse, je ne m'avance pas sur ce terrain de peur de rallumer une guerre sans fin à 1 000 lieues de mes préoccupations.

descriptionLe travail. - Page 4 EmptyRe: Le travail.

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Le Vicaire a écrit:
Janus a écrit:
Le Vicaire a écrit:
J'ai bien peur qu'on s'éloigne un peu du sujet, les psychanalystes sont charmants, ils ne veulent vraiment pas nous séparer de papa maman Le travail. - Page 4 457303841Pouvez vous m'indiquez en quoi je justifie l'injustifiable ?
"Papa maman", une manière comme une autre de tourner la psychanalyse en dérision lorsqu'elle dit des vérités qu'on ne veut pas entendre..... Mais ce n'était pas pour faire un hors sujet, juste pour dire que vous énoncez des théories plus ou moins élaborées qui se prétendent "raisonnées, mais qui n'ont visiblement qu'un but : dévaloriser le travail, alors que pour d'autres le travail est une valeur. Alors il suffirait de le dire tout simplement : comme certains aiment les fraises, d'autres non, pour le travail c'est pareil, pas besoin de justifier ou chercher des tas de prétextes, on n'aime pas ou on aime, c'est tout.


Je crois que vous n'y êtes pas du tout. Mon propos n'est pas d'expliquer que le travail "c'est bien ou c'est pas bien" mais porte sur l'idée qu'un travail peut aussi ne pas correspondre à un principe que l'on pense ou croit supérieur et qui n'est pas inscrit précisément dans l'activité à accomplir. Ce principe est hérité de la réflexion que je porte sur mon activité. L'éloge du travail, de son amour ou plutôt de sa réelle et profonde finalité on le trouve chez Marx, vous trouverez chez Nietzsche tout l'inverse dans un célèbre texte sur la glorification du travail (Aurore). Quant aux vérités (interprétations seraient plus correct) de la psychanalyse, je ne m'avance pas sur ce terrain de peur de rallumer une guerre sans fin à 1 000 lieues de mes préoccupations.
Laissons donc de côté la psychanalyse qui n'était qu'une réflexion "collatérale (fort intéressante pourtant) mais ne cherchait pas à faire des victimes... le but n'étant pas de nourrir une quelconque guerre, a fortiori envers des populations innocentes.
Mais je remarque surtout une contradiction dans vos propos : vous affirmez ne pas avoir considéré le travail en terme de valeur, pourtant vous dites ensuite que vous placez le travail comme "principe inférieur" par rapport à d’autres "principes" que vous estimez supérieurs… quelle que soit l'activité dont il s'agit, vous raisonnez pourtant en terme de valeur.

descriptionLe travail. - Page 4 EmptyRe: Le travail.

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Janus a écrit:
Mais je remarque surtout une contradiction dans vos propos : vous affirmez ne pas avoir considéré le travail en terme de valeur

Il ne me semble pas avoir parlé du travail en terme de "valeur" ou alors il faut que je révise mon petit sarkozysme illustré. On peut conférer une valeur au travail oui, mais laquelle ? Le concept de "valeur travail" a été emprunté à Dominique Méda qui est socialiste avec tout le bonheur que l'on sait pour la postérité de son concept. Moi, pour le moment, je n'ai toujours pas compris ce que cela voulait dire si ce n'est qu'on lui accorde une valeur et comme toutes les valeurs on peut les dévaluer ou les remplacer par une autre valeur et que chaque valeur est le fruit d'une hiérarchie sociale, historique et culturelle.

Janus a écrit:
pourtant vous dites ensuite que vous placez le travail comme "principe inférieur" par rapport à d’autres "principes" que vous estimez supérieurs…. quelle que soit l'activité dont il s'agit, vous raisonnez pourtant en terme de valeur.

Mêmes causes, mêmes effets... si le principe ou la valeur, ce qui n'est pas la même chose - le principe étant un fondement primitif alors que la valeur une estimation subjective que je confère à une chose -, est ce qui motive mon action, mon travail peut ne pas correspondre à ce que votre signature énonce clairement, l'obéissance à la loi que je me suis prescrite (contre l'impulsion du seul appétit qui est esclavage). Remarque dont on pourrait aussi se servir pour comprendre qu'on ne peut pas faire n'importe quel travail à moins (et cela je veux bien l'entendre) que l'appétit - Marx dirait la consommation - soit ce qui détermine, motive toutes nos actions sans qu'aucun examen de ce que je fais ne puisse entraver cette même impulsion.

descriptionLe travail. - Page 4 EmptyRe: Le travail.

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En fait je trouve votre "raisonnement" tout simplement pervers, dans le style nihiliste qui inverse les valeurs : accepter un travail "alimentaire", juste bon à satisfaire "son seul appétit"... tout comme considérer qu'être libre c'est se soumettre aux lois respectueuses de la liberté d'autrui.... tout cela est morale d'esclave, juste valable pour les imbéciles.... :OO:

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Janus a écrit:
En fait je trouve votre "raisonnement" tout simplement pervers, dans le style nihiliste qui inverse les valeurs : accepter un travail "alimentaire", juste bon à satisfaire "son seul appétit"... tout comme considérer qu'être libre c'est se soumettre aux lois respectueuses de la liberté d'autrui.... tout cela est morale d'esclave, juste valable pour les imbéciles.... Le travail. - Page 4 3495632180


Décidément vos arguments sont bien minces et vous avez un sens de la démonstration assez saisissant mais excusez-moi je n'ai pas fait charabia en première langue.

Vicaire, je vous prie d'éviter ces piques inutiles au débat. Janus, évitez de votre côté de simplifier les propos de votre interlocuteur. (Liber)
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