Janus a écrit:Le Vicaire a écrit:"Papa maman", une manière comme une autre de tourner la psychanalyse en dérision lorsqu'elle dit des vérités qu'on ne veut pas entendre..... Mais ce n'était pas pour faire un hors sujet, juste pour dire que vous énoncez des théories plus ou moins élaborées qui se prétendent "raisonnées, mais qui n'ont visiblement qu'un but : dévaloriser le travail, alors que pour d'autres le travail est une valeur. Alors il suffirait de le dire tout simplement : comme certains aiment les fraises, d'autres non, pour le travail c'est pareil, pas besoin de justifier ou chercher des tas de prétextes, on n'aime pas ou on aime, c'est tout.J'ai bien peur qu'on s'éloigne un peu du sujet, les psychanalystes sont charmants, ils ne veulent vraiment pas nous séparer de papa maman Pouvez vous m'indiquez en quoi je justifie l'injustifiable ?
Je crois que vous n'y êtes pas du tout. Mon propos n'est pas d'expliquer que le travail "c'est bien ou c'est pas bien" mais porte sur l'idée qu'un travail peut aussi ne pas correspondre à un principe que l'on pense ou croit supérieur et qui n'est pas inscrit précisément dans l'activité à accomplir. Ce principe est hérité de la réflexion que je porte sur mon activité. L'éloge du travail, de son amour ou plutôt de sa réelle et profonde finalité on le trouve chez Marx, vous trouverez chez Nietzsche tout l'inverse dans un célèbre texte sur la glorification du travail (Aurore). Quant aux vérités (interprétations seraient plus correct) de la psychanalyse, je ne m'avance pas sur ce terrain de peur de rallumer une guerre sans fin à 1 000 lieues de mes préoccupations.