clément dousset salutation ...
Ayant essayé de comprendre la méthodologie de votre réflexion, une question m’est apparut très vite qui serait libellée comme suit : est-ce que toute conscience est active dans la sensation ?
Et par « toute »il serait entendu la totalité de l’état conscient, qui pose donc la question également de la gradualité temporaire de la douleur ou du plaisir, qui se déploient dans le temps physique du corps en simultanéité de la conscience qu’il a de cette douleur ou plaisir, je veux dire que dans cette acception de la conscience, nous serions amenés à la considérer comme un temps de tension réactif d’un corps en son milieu, et vous pardonnerez ici de placer une analogie (qui tout en étant figurative, donc vu selon la cause exemplaire, pourrait aussi être vu comme une analogie efficiente, matérielle et formelle si l’on se donnait le temps de pousser jusqu’au bout ses occurrences) cette analogie de la conscience je la prends avec l'orage, car il me semble que selon son mode de localisation, et de répartition de son énergie, l’orage est comme la conscience, une saisie en temps réel d’une modulation de son état par son mouvement…(voir note 1)
En effet l’orage qui est une formation physique, nous éclaire (si j’ose dire) sur une des capacité de la matière à générer une zone de translation transitoire d’énergie, une sorte de maturation d’un état en seuil critique, ce que serait la conscience qui ne cesse de maintenir le corps en tension électro-sensible avec son milieu…(car bien que n'étant pas physicien, j'ai toujours trouvé étonnante la possible correspondance entre l'électromagnétisme du corps animal et celui de ce moment atmosphérique qu'est l'orage)
Vous poursuivez et dites : "Pourvu de ces deux neurones AWB le nématode C. Elegans fuit la concentration de quinine. Si on détruit ces deux neurones par une intervention au laser, il ne la fuit plus." L’intervention accidentelle oui artificielle qui modifie provisoirement ou définitivement une interactivité sensoriel, ne permet pas de relever l’originalité de l’attraction ou de la répulsion, car c’est dans une autre explicitation de la répartition de la matière vivante que se trouve (pour moi en tout cas) cette double dimensions réactives du vivant en situation…
L’explicitation de la transduction de l’information sensible, comme j’ai essayé de vous l’expliquer dans le post supra, est une saisie de la temporation (maturation) effective du transitoire dans une translation , dit autrement un mouvement qui opérerait un changement d’état, ce que vous nommez : Du physique au psychique : "la voie possible d’une transmutation Par quel biais se fait cette transformation d’énergie ?" et en recherchant un biais vous recherchez en fait un moyen de mesurer l’évolutivité de ce changement d’état, en voulant isoler le mouvement lui même, en lui reconnaissant toute sa spécificité biologique, et surtout en lui attribuant la résolution de la difficile question de l’origine et de la diversité des « niveaux de consciences » respectifs à chaque vivants…(y comprit pour moi des végétaux)
vient ensuite de vous cette réflexion : "Si l’on veut que cet effet comportemental opposé (attraction au lieu de fuite) s’accompagne d’un ressenti opposé dans le cadre de l’hypothèse moduliste, il faut nécessairement que les deux neurones « attractifs » ne déchargent pas de la même façon que les deux neurones « répulsifs » afin que la modulation du champ soit différente. » " La différence entre deux états ne se résous pas l’élimination de l’un par l’autre, mais justement de la mutation de l’un dans l’autre, c’est pourquoi il serait mieux de dire contraire à la place d’opposé car si il y a une modification du tout au tout de l’attirance à la fuite, mais une gradualité de sensitivité, il y a aussi inversement après une fuite, une nouvelle attirance, puisqu’il n’y a pas d’opposition entre la fuite et l’attirance mais uniquement un positionnement spécifique réactif à deux « objets » différents, qui eux même ne sont pas des opposés mais des corps élémentaires distincts…
Le modulisme qui porterait son nom d’une adaptabilité proportionnelle en temps réel d’un corps réceptif au contact d’un corps émetteur, ne se limiterait donc pas à certaines espèces animales, car l’unité du vivant nous orienterait à accorder une diversité d’états de consciences appropriées à toute la modulation de la vie, et de prendre alors comme centre du questionnement philosophique sur la conscience : Pourquoi les corps existent à partir d’un milieu qui les porte comme des singularités de modification de lui même ?
Vous concluez ainsi : Qu’il existe un ancêtre du C Elegans qu’on puisse considérer comme lui doué de conscience sensible bien qu’il soit moins riche en neurones, je le veux bien, mais pas sans paires AWA ni AWB ! C’est aussi à cette sorte de question que bien d’autres intelligibilités que celles des sciences physique ou chimique ont essayer de répondre avec des réussites très discutables il est vrai…
Donc à suivre …
1) Descriptif d’un orage wikitruc :
Tant qu'elle n'est pas saturée, sa température change selon le taux adiabatique sec. À partir de la saturation, la vapeur d'eau contenue dans la parcelle d'air condense selon les lois de la thermodynamique, ce qui relâche de la chaleur latente et son changement de température avec la pression est alors celui appelé le taux pseudo-adiabatique humide. L'accélération ascensionnelle se poursuit, jusqu'à ce que la parcelle arrive à un niveau où sa température égale celle de l'air environnant. Ensuite, elle se met à décélérer et le sommet du nuage est atteint quand la particule atteint une vitesse nulle.
L'Énergie Potentielle de Convection Disponible (EPCD) pour ce type de nuages est plus grande que pour une averse et permet de développer des sommets de nuages qui atteindront une plus grande altitude. Ceci est important car les gouttes qui s'élèvent dans le courant ascendant perdent des électrons par collision comme dans un accélérateur de Van de Graff. Un plus haut sommet permet d'atteindre une température inférieure à −20 °C nécessaire pour donner un grand nombre de cristaux de glace. Ces derniers sont de meilleurs producteurs et transporteurs de charge, ce qui permet une différence de potentiel suffisante entre la base et le sommet du nuage pour dépasser le seuil de claquage de l'air et donner de la foudre.
2) Descriptif de l’activité électro-transmetteur des neurones (transduction de l’information)
Définition potentiel postsynaptique:
Le potentiel postsynaptique est une variation du potentiel de membrane d'un neurone postsynaptique. Le PPS est un changement temporaire dans le potentiel de membrane de la cellule postsynaptique provoquée par le flux d'ions chargés par la variation de la probabilité d'un potentiel d'action dans le neurone.
Ils sont causés par les neurones présynaptiques qui libèrent des neurotransmetteurs du bouton terminal à la fin d'un axone dans la fente synaptique. Les neurotransmetteurs se lient aux récepteurs sur le terminal postsynaptique, qui peut être un neurone ou une cellule musculaire dans le cas d'une jonction neuromusculaire. Ceux-ci sont collectivement appelés récepteurs postsynaptiques, puisqu'ils sont sur la membrane de la cellule postsynaptique.
Le potentiel postsynaptique peut être excitateur (PPSE) ou inhibiteur (PPSI). Une PSP est appelée potentiel postsynaptique excitateur si la membrane est dépolarisée et augmente la probabilité que le potentiel d'action est appelée potentiel postsynaptique inhibiteur si la diminution, le maintien du neurone polarisée.
Les potentiels synaptiques, à la différence des potentiels d'action, ont une durée relativement longue et ne sont pas des phénomènes de "tout ou rien". Ces caractéristiques permettent une intégration synaptique, dite sommation, avec différents signaux à la fois excitateurs (PPSE) et/ou inhibiteurs (PPSI) dans la cellule, de sorte que cela peut finalement causer ou inhiber (éviter) un potentiel d'action dans l'axone.
La confluence des différents potentiels synaptiques produit un potentiel de sommation, avec une différenciation entre la sommation spatiale et la sommation temporelle des potentiels postsynaptiques. Si deux potentiels du même synapse arrivent dans un court laps de temps, les deux potentiels peuvent se chevaucher, un phénomène connu comme la sommation temporelle résultant de l'amplification du signal. Dans ce cas, provenant de la même synapse, le même signal est toujours amplifié, et peut conduire à une excitation accrue ou une inhibition.
En outre, si plusieurs différents potentiels de synapses convergent vers le neurone, la sommation spatiale des signaux a lieu. Pouvoir atteindre les synapses excitatrices ou inhibitrices, respectivement chargés positivement ou négativement, le résultat du potentiel de sommation spatiale dépend de la charge et des forces sur l'axone.
Lire plus: https://www.aquaportail.com/definition-8947-potentiel-postsynaptique.html
Ayant essayé de comprendre la méthodologie de votre réflexion, une question m’est apparut très vite qui serait libellée comme suit : est-ce que toute conscience est active dans la sensation ?
Et par « toute »il serait entendu la totalité de l’état conscient, qui pose donc la question également de la gradualité temporaire de la douleur ou du plaisir, qui se déploient dans le temps physique du corps en simultanéité de la conscience qu’il a de cette douleur ou plaisir, je veux dire que dans cette acception de la conscience, nous serions amenés à la considérer comme un temps de tension réactif d’un corps en son milieu, et vous pardonnerez ici de placer une analogie (qui tout en étant figurative, donc vu selon la cause exemplaire, pourrait aussi être vu comme une analogie efficiente, matérielle et formelle si l’on se donnait le temps de pousser jusqu’au bout ses occurrences) cette analogie de la conscience je la prends avec l'orage, car il me semble que selon son mode de localisation, et de répartition de son énergie, l’orage est comme la conscience, une saisie en temps réel d’une modulation de son état par son mouvement…(voir note 1)
En effet l’orage qui est une formation physique, nous éclaire (si j’ose dire) sur une des capacité de la matière à générer une zone de translation transitoire d’énergie, une sorte de maturation d’un état en seuil critique, ce que serait la conscience qui ne cesse de maintenir le corps en tension électro-sensible avec son milieu…(car bien que n'étant pas physicien, j'ai toujours trouvé étonnante la possible correspondance entre l'électromagnétisme du corps animal et celui de ce moment atmosphérique qu'est l'orage)
Vous poursuivez et dites : "Pourvu de ces deux neurones AWB le nématode C. Elegans fuit la concentration de quinine. Si on détruit ces deux neurones par une intervention au laser, il ne la fuit plus." L’intervention accidentelle oui artificielle qui modifie provisoirement ou définitivement une interactivité sensoriel, ne permet pas de relever l’originalité de l’attraction ou de la répulsion, car c’est dans une autre explicitation de la répartition de la matière vivante que se trouve (pour moi en tout cas) cette double dimensions réactives du vivant en situation…
L’explicitation de la transduction de l’information sensible, comme j’ai essayé de vous l’expliquer dans le post supra, est une saisie de la temporation (maturation) effective du transitoire dans une translation , dit autrement un mouvement qui opérerait un changement d’état, ce que vous nommez : Du physique au psychique : "la voie possible d’une transmutation Par quel biais se fait cette transformation d’énergie ?" et en recherchant un biais vous recherchez en fait un moyen de mesurer l’évolutivité de ce changement d’état, en voulant isoler le mouvement lui même, en lui reconnaissant toute sa spécificité biologique, et surtout en lui attribuant la résolution de la difficile question de l’origine et de la diversité des « niveaux de consciences » respectifs à chaque vivants…(y comprit pour moi des végétaux)
vient ensuite de vous cette réflexion : "Si l’on veut que cet effet comportemental opposé (attraction au lieu de fuite) s’accompagne d’un ressenti opposé dans le cadre de l’hypothèse moduliste, il faut nécessairement que les deux neurones « attractifs » ne déchargent pas de la même façon que les deux neurones « répulsifs » afin que la modulation du champ soit différente. » " La différence entre deux états ne se résous pas l’élimination de l’un par l’autre, mais justement de la mutation de l’un dans l’autre, c’est pourquoi il serait mieux de dire contraire à la place d’opposé car si il y a une modification du tout au tout de l’attirance à la fuite, mais une gradualité de sensitivité, il y a aussi inversement après une fuite, une nouvelle attirance, puisqu’il n’y a pas d’opposition entre la fuite et l’attirance mais uniquement un positionnement spécifique réactif à deux « objets » différents, qui eux même ne sont pas des opposés mais des corps élémentaires distincts…
Le modulisme qui porterait son nom d’une adaptabilité proportionnelle en temps réel d’un corps réceptif au contact d’un corps émetteur, ne se limiterait donc pas à certaines espèces animales, car l’unité du vivant nous orienterait à accorder une diversité d’états de consciences appropriées à toute la modulation de la vie, et de prendre alors comme centre du questionnement philosophique sur la conscience : Pourquoi les corps existent à partir d’un milieu qui les porte comme des singularités de modification de lui même ?
Vous concluez ainsi : Qu’il existe un ancêtre du C Elegans qu’on puisse considérer comme lui doué de conscience sensible bien qu’il soit moins riche en neurones, je le veux bien, mais pas sans paires AWA ni AWB ! C’est aussi à cette sorte de question que bien d’autres intelligibilités que celles des sciences physique ou chimique ont essayer de répondre avec des réussites très discutables il est vrai…
Donc à suivre …
1) Descriptif d’un orage wikitruc :
Tant qu'elle n'est pas saturée, sa température change selon le taux adiabatique sec. À partir de la saturation, la vapeur d'eau contenue dans la parcelle d'air condense selon les lois de la thermodynamique, ce qui relâche de la chaleur latente et son changement de température avec la pression est alors celui appelé le taux pseudo-adiabatique humide. L'accélération ascensionnelle se poursuit, jusqu'à ce que la parcelle arrive à un niveau où sa température égale celle de l'air environnant. Ensuite, elle se met à décélérer et le sommet du nuage est atteint quand la particule atteint une vitesse nulle.
L'Énergie Potentielle de Convection Disponible (EPCD) pour ce type de nuages est plus grande que pour une averse et permet de développer des sommets de nuages qui atteindront une plus grande altitude. Ceci est important car les gouttes qui s'élèvent dans le courant ascendant perdent des électrons par collision comme dans un accélérateur de Van de Graff. Un plus haut sommet permet d'atteindre une température inférieure à −20 °C nécessaire pour donner un grand nombre de cristaux de glace. Ces derniers sont de meilleurs producteurs et transporteurs de charge, ce qui permet une différence de potentiel suffisante entre la base et le sommet du nuage pour dépasser le seuil de claquage de l'air et donner de la foudre.
2) Descriptif de l’activité électro-transmetteur des neurones (transduction de l’information)
Définition potentiel postsynaptique:
Le potentiel postsynaptique est une variation du potentiel de membrane d'un neurone postsynaptique. Le PPS est un changement temporaire dans le potentiel de membrane de la cellule postsynaptique provoquée par le flux d'ions chargés par la variation de la probabilité d'un potentiel d'action dans le neurone.
Ils sont causés par les neurones présynaptiques qui libèrent des neurotransmetteurs du bouton terminal à la fin d'un axone dans la fente synaptique. Les neurotransmetteurs se lient aux récepteurs sur le terminal postsynaptique, qui peut être un neurone ou une cellule musculaire dans le cas d'une jonction neuromusculaire. Ceux-ci sont collectivement appelés récepteurs postsynaptiques, puisqu'ils sont sur la membrane de la cellule postsynaptique.
Le potentiel postsynaptique peut être excitateur (PPSE) ou inhibiteur (PPSI). Une PSP est appelée potentiel postsynaptique excitateur si la membrane est dépolarisée et augmente la probabilité que le potentiel d'action est appelée potentiel postsynaptique inhibiteur si la diminution, le maintien du neurone polarisée.
Les potentiels synaptiques, à la différence des potentiels d'action, ont une durée relativement longue et ne sont pas des phénomènes de "tout ou rien". Ces caractéristiques permettent une intégration synaptique, dite sommation, avec différents signaux à la fois excitateurs (PPSE) et/ou inhibiteurs (PPSI) dans la cellule, de sorte que cela peut finalement causer ou inhiber (éviter) un potentiel d'action dans l'axone.
La confluence des différents potentiels synaptiques produit un potentiel de sommation, avec une différenciation entre la sommation spatiale et la sommation temporelle des potentiels postsynaptiques. Si deux potentiels du même synapse arrivent dans un court laps de temps, les deux potentiels peuvent se chevaucher, un phénomène connu comme la sommation temporelle résultant de l'amplification du signal. Dans ce cas, provenant de la même synapse, le même signal est toujours amplifié, et peut conduire à une excitation accrue ou une inhibition.
En outre, si plusieurs différents potentiels de synapses convergent vers le neurone, la sommation spatiale des signaux a lieu. Pouvoir atteindre les synapses excitatrices ou inhibitrices, respectivement chargés positivement ou négativement, le résultat du potentiel de sommation spatiale dépend de la charge et des forces sur l'axone.
Lire plus: https://www.aquaportail.com/definition-8947-potentiel-postsynaptique.html