Hum vous me semblez réducteur aussi :). Vous mettez l'être humain dans diverses situations qui agissent bien évidemment sur sa façon de parler. Mais on peut mettre ce que vous dites dans des catégories :)sentiments et positions. Il y a diverses communications nerveuses et hormonales. Le mot hormone est réducteur, certes, mais je n'allais tout de même pas vous énoncer tous les types d'hormones existant. Et parler est réducteur ! Indépendamment de l'action de parler, votre organisme traite un tas d'autres informations dont vous n'avez même pas conscience. Et ces informations agissent sur votre façon de parler.
Je n'ai jamais remis en cause l'action de l'effet placebo. Je sais parfaitement que nous nous construisons à travers notre corps et notre esprit. Notre organisme perçoit et notre esprit analyse.
Jouer au golf fait partie de la culture, dormir la nuit, non. Dormir nous est indiqué par notre horloge biologique. Manger cuit est culturel. Un instinct primaire est ce qui est selon moi ce qui permet de nous maintenir en vie. Je ne définis pas l'instinct de survie comme étant la vie elle-même. C'est ce qui nous empêche de mourir. Essayez donc d'arrêter de respirer par votre seule volonté, vous n'y parviendrez pas. Votre organisme vous dicte de vivre et vous ne pouvez pas y échapper. Pourquoi vivre quand tout cela n'a aucun intérêt ? Bonne question et pourtant on continue de vivre, pourquoi ? Parce qu'on ne peut y échapper. Évidemment lire Femme actuelle et l'instinct de survie n'a pas de rapport. Quoique dans un moment de détresse vous pourriez très bien rechercher un mot ou une parole vous redonnant la force de continuer. (Il n'y aurait pas une rubrique psychologie dans Femme actuelle ? A moins que ce ne soit dans Fémina ? :roll: )
Personnellement je suis un irrémédiable curieux, je me passionne par tout ce qui peut être appris. Je me passionne autant pour la biologie que pour la vie des autres, autant pour l'histoire et le latin que pour connaître un nouveau mot ou pour écouter comment s'est passé votre passage à la caisse quand vous avez été fait les courses. Alors l'envie de savoir, je ne pourrais vous le décrire, c'est juste l'intérêt que l'on éprouve quand on apprend une nouvelle chose je crois. Enfin c'est ce que je ressens quand j'apprends une chose nouvelle. J'arrive à m'intéresser à tout. Sauf la routine, j'aime le nouveau. Et l'envie de savoir c'est, selon moi, cette faculté à ne pas se contenter de ce que l'on est, de ce que l'on a.
Je n'ai pas bien compris le rapport entre ce que Hobbes dit et un paradigme, d'ailleurs je n'ai pas bien compris la définition de ce mot. Pouvez vous m'expliquer ?
Je vous l'ai dit, je vois le monde comme un réseau trophique. Que ce soit pour l'homme ou la culture je pars du principe que chaque chose a une raison et je cherche sans cesse cette raison.
Je me suis souvent interrogé sur des choses qui n'avaient pas d'intérêt, ou du moins pas d'application dans la vie quotidienne.
(Si je donne l'impression de raconter ma vie, vous le dites surtout !)
Je n'ai jamais remis en cause l'action de l'effet placebo. Je sais parfaitement que nous nous construisons à travers notre corps et notre esprit. Notre organisme perçoit et notre esprit analyse.
Jouer au golf fait partie de la culture, dormir la nuit, non. Dormir nous est indiqué par notre horloge biologique. Manger cuit est culturel. Un instinct primaire est ce qui est selon moi ce qui permet de nous maintenir en vie. Je ne définis pas l'instinct de survie comme étant la vie elle-même. C'est ce qui nous empêche de mourir. Essayez donc d'arrêter de respirer par votre seule volonté, vous n'y parviendrez pas. Votre organisme vous dicte de vivre et vous ne pouvez pas y échapper. Pourquoi vivre quand tout cela n'a aucun intérêt ? Bonne question et pourtant on continue de vivre, pourquoi ? Parce qu'on ne peut y échapper. Évidemment lire Femme actuelle et l'instinct de survie n'a pas de rapport. Quoique dans un moment de détresse vous pourriez très bien rechercher un mot ou une parole vous redonnant la force de continuer. (Il n'y aurait pas une rubrique psychologie dans Femme actuelle ? A moins que ce ne soit dans Fémina ? :roll: )
Personnellement je suis un irrémédiable curieux, je me passionne par tout ce qui peut être appris. Je me passionne autant pour la biologie que pour la vie des autres, autant pour l'histoire et le latin que pour connaître un nouveau mot ou pour écouter comment s'est passé votre passage à la caisse quand vous avez été fait les courses. Alors l'envie de savoir, je ne pourrais vous le décrire, c'est juste l'intérêt que l'on éprouve quand on apprend une nouvelle chose je crois. Enfin c'est ce que je ressens quand j'apprends une chose nouvelle. J'arrive à m'intéresser à tout. Sauf la routine, j'aime le nouveau. Et l'envie de savoir c'est, selon moi, cette faculté à ne pas se contenter de ce que l'on est, de ce que l'on a.
Je n'ai pas bien compris le rapport entre ce que Hobbes dit et un paradigme, d'ailleurs je n'ai pas bien compris la définition de ce mot. Pouvez vous m'expliquer ?
Je vous l'ai dit, je vois le monde comme un réseau trophique. Que ce soit pour l'homme ou la culture je pars du principe que chaque chose a une raison et je cherche sans cesse cette raison.
Je me suis souvent interrogé sur des choses qui n'avaient pas d'intérêt, ou du moins pas d'application dans la vie quotidienne.
(Si je donne l'impression de raconter ma vie, vous le dites surtout !)