serions-nous donc tous des têtus pour ne pas entrevoir des correspondances possibles entre sciences et philosophies (pluriel de circonstances) ?
ou bien plus simplement que l'ampleur du cheminement intellectuel nécessaire pour communiquer sur un objet que chacun a (et plus exactement est) à savoir la conscience, est justement le lieu de l'irréductibilité des intelligibilités ?
pour s'en rendre compte ne serait-il pas fort à propos de théoriser en amont ce qu'est l'information par une étude philosophique, physique, biologique, et même psychologique, et alors sans doute des spécificités émergeantes s'apporteraient mutuellement, en éléments stratigraphiques de correspondances, un fond commun utilisable pour mieux échanger au sujet de la conscience...?
ou bien plus simplement que l'ampleur du cheminement intellectuel nécessaire pour communiquer sur un objet que chacun a (et plus exactement est) à savoir la conscience, est justement le lieu de l'irréductibilité des intelligibilités ?
pour s'en rendre compte ne serait-il pas fort à propos de théoriser en amont ce qu'est l'information par une étude philosophique, physique, biologique, et même psychologique, et alors sans doute des spécificités émergeantes s'apporteraient mutuellement, en éléments stratigraphiques de correspondances, un fond commun utilisable pour mieux échanger au sujet de la conscience...?