Beaucoup de bruit (référence humoristique à la déformation du signal analogique) pour pas grand chose, et une fois de plus il semble que la communication de la pensée par le langage soit la forêt qui cache l'arbre, je veux dire que sous l'acception du mot "analogique", un décalage sémantique ai fait disparaître le prima de l'acte d'intellection sous la fonctionnalité symbolique des définitions…
Boudou vous dites : Pourquoi ne citez-vous pas les ordinateurs/calculateurs analogiques ? Que peut-on en penser ?
Rien de bon… car dans les termes du "langage informatique", et ici plus précisément de l'utilisation d'un rapport analogique symbolisé dans certains programmes informatiques, s'appliquant à un mode de codage de l'information tel que: le signal analogique peut subir trois sortes de modulations : en amplitude, en fréquence et en phase… son codage est toujours une transcription symbolique de l'information/signal (par transduteur)...
ici c'est bien la notion de symbolisation de l'information qui est en jeu, car pour l'intelligence humaine, le symbole est bien un élément (figure) qui traduit un rapport qualitatif sous la dimensionnalité quantitative de sa représentation (ses limites physiques ou conceptuelles), pour un programme informatique analogique, la première saisie est une évaluation d'une proportionnalité de l'information, c'est-à-dire de son dimensionnement par symbolisation de ses modulations, par capteur (micro, caméra, jauge thermique, hydraulique etc.)...
ainsi pour un programme informatique, « le signal » comme information de base est immédiatement transposé quantitativement en fréquence d'onde (symbolisation d'un rapport de modulation) et n'est donc qu'une symbolisation énergétique de l'information, tel que : le sens respectif des deux phrases "je t'aime" et "je te hais" n'est plus qu'une infime modification quantitative de fréquence...
je sais qu'en philosophie l'on dit que l'amour et la haine sont deux passions et comme telles sont dans le même genre, mais vouloir évaluer avec un ordinateur analogique une proportionnalité de sens, revient à la même aporie que de vouloir limiter la pensée par l'usage du langage…
et c'est même sans doute cette prime erreur de la recherche en technologies informatiques, analogique ou numérique, qui réduit le sens qualitatif de la pensée à la signification quantitative d'un rapport entre deux informations distinctes, une sorte de super dialectique de la quantification, qui en fin de compte (si j'ose dire) aboutie à une nouvelle définition des éléments constitutifs du langage, par proportionnalité de rapport entre les mots (moteurs de recherche) et qui produit de la distorsion (pertinence quantitative de l’information), car dès qu'il y a inversion de la quantité et de la quantité, une certaine entropie directionnelle de l’information est activée…
-mais cela est une autre question à voir dans la spécificité de l’intelligibilité scientifique...
Ensuite vous dites: « Où se situe le [j’ajouterais au mieux] mieux notre fil de discussion dans la bibliographie donnée, par exemple, par PhilPapers ? »
Malheureusement, le fil de notre discussion n’est pas localisable puisqu’il ne part pas du même point et sans doute ne va pas dans une même direction, nous ne faisons qu’entrecroiser certaines informations (croiser le fer aurait-on dit en un autre âge), ce qui nous manque pour avoir un fil commun de raisonnement serait avant tout la reconnaissance commune des mêmes qualités en chaque réalité…
Or, la qualité de fonctionnalité de l’intelligence humaine (par exemple l’analogie) n’est pas la même que la fonctionnalité d’un programme informatique (dit analogique), cette dichotomie étant pour moi indépassable, toutes les passerelles et tous les ponts tendus ou suspendus ne nous rapprocherons pas, mais ne feront qu’encombrer la vallée de l’inconnu qui nous sépare…
P.S : encombrement, comme les références sur la robotique que j’ai été consulté sur votre conseil, ne m’ont laissé que l’impression amère d’une recherche de performation industrielle qui va de plus en plus soumettre les corps humains et les autres animaux à une gestion efficiente de l’espace, non pas pour combler un manque inhérent à la nature, mais uniquement pour que perdure l’avancée dans l’impasse technoscientifique des économies libérales…
Boudou vous dites : Pourquoi ne citez-vous pas les ordinateurs/calculateurs analogiques ? Que peut-on en penser ?
Rien de bon… car dans les termes du "langage informatique", et ici plus précisément de l'utilisation d'un rapport analogique symbolisé dans certains programmes informatiques, s'appliquant à un mode de codage de l'information tel que: le signal analogique peut subir trois sortes de modulations : en amplitude, en fréquence et en phase… son codage est toujours une transcription symbolique de l'information/signal (par transduteur)...
ici c'est bien la notion de symbolisation de l'information qui est en jeu, car pour l'intelligence humaine, le symbole est bien un élément (figure) qui traduit un rapport qualitatif sous la dimensionnalité quantitative de sa représentation (ses limites physiques ou conceptuelles), pour un programme informatique analogique, la première saisie est une évaluation d'une proportionnalité de l'information, c'est-à-dire de son dimensionnement par symbolisation de ses modulations, par capteur (micro, caméra, jauge thermique, hydraulique etc.)...
ainsi pour un programme informatique, « le signal » comme information de base est immédiatement transposé quantitativement en fréquence d'onde (symbolisation d'un rapport de modulation) et n'est donc qu'une symbolisation énergétique de l'information, tel que : le sens respectif des deux phrases "je t'aime" et "je te hais" n'est plus qu'une infime modification quantitative de fréquence...
je sais qu'en philosophie l'on dit que l'amour et la haine sont deux passions et comme telles sont dans le même genre, mais vouloir évaluer avec un ordinateur analogique une proportionnalité de sens, revient à la même aporie que de vouloir limiter la pensée par l'usage du langage…
et c'est même sans doute cette prime erreur de la recherche en technologies informatiques, analogique ou numérique, qui réduit le sens qualitatif de la pensée à la signification quantitative d'un rapport entre deux informations distinctes, une sorte de super dialectique de la quantification, qui en fin de compte (si j'ose dire) aboutie à une nouvelle définition des éléments constitutifs du langage, par proportionnalité de rapport entre les mots (moteurs de recherche) et qui produit de la distorsion (pertinence quantitative de l’information), car dès qu'il y a inversion de la quantité et de la quantité, une certaine entropie directionnelle de l’information est activée…
-mais cela est une autre question à voir dans la spécificité de l’intelligibilité scientifique...
Ensuite vous dites: « Où se situe le [j’ajouterais au mieux] mieux notre fil de discussion dans la bibliographie donnée, par exemple, par PhilPapers ? »
Malheureusement, le fil de notre discussion n’est pas localisable puisqu’il ne part pas du même point et sans doute ne va pas dans une même direction, nous ne faisons qu’entrecroiser certaines informations (croiser le fer aurait-on dit en un autre âge), ce qui nous manque pour avoir un fil commun de raisonnement serait avant tout la reconnaissance commune des mêmes qualités en chaque réalité…
Or, la qualité de fonctionnalité de l’intelligence humaine (par exemple l’analogie) n’est pas la même que la fonctionnalité d’un programme informatique (dit analogique), cette dichotomie étant pour moi indépassable, toutes les passerelles et tous les ponts tendus ou suspendus ne nous rapprocherons pas, mais ne feront qu’encombrer la vallée de l’inconnu qui nous sépare…
P.S : encombrement, comme les références sur la robotique que j’ai été consulté sur votre conseil, ne m’ont laissé que l’impression amère d’une recherche de performation industrielle qui va de plus en plus soumettre les corps humains et les autres animaux à une gestion efficiente de l’espace, non pas pour combler un manque inhérent à la nature, mais uniquement pour que perdure l’avancée dans l’impasse technoscientifique des économies libérales…