Dans la perspective d'une revue bibliographique de l'IA, il ne faudrait pas omettre une histoire de l'IA qui débute dès l'antiquité : automates antiquité
Les scientifiques parlent de signal analogique (continu) et de signal numérique (càd discontinu ou discret). C’est ainsi qu’ils parlent de calculateur analogique qui traite de signaux continus et de calculateur numérique de signaux discontinus. L’usage de l’adjectif « analogique » n’est pas ici celui qu’en font les linguistes.
Les apports de l’IA nous laissent rêveur quand on songe à la portée philosophique des potentialités des chimères bio-mécaniques (homme augmenté, machine biomimétique, etc.) ?
Ne serait-il pas plus constructif de réfléchir aussi à une articulation entre toutes les disciplines ? Il serait utile que les meilleurs spécialistes (philo : PHiPhilo, shub22, Zeugme, etc., Science : Clement Dousset, PhiloGL.) présentent, comme c’est l’usage ici, une revue biblio complète des sujets comme, par exemple, l’intelligence vue par les philosophes et l’IA vue par les scientifiques – par exemple dans le domaine de la linguistique. C’est ainsi que l’on pourrait avoir une articulation plus additive entre les contributions de chacun.
A minima, il y aurait une réflexion à faire sur les implications philosophiques et métaphysiques de l’IA.
Dans la perspective d'une revue bibliographique de l'IA, il ne faudrait pas omettre une histoire de l'IA qui débute dès l'antiquité : automates antiquité
PhiPhilo a écrit:Un tel glissement lexical (d'ailleurs lui-même fondé sur … une analogie entre le courant continu et la pensée fluide) crée et entretient la confusion avec la notion de pensée analogique (vs pensée inférentielle) qui ne se prédique que de l'être humain … et de ce qui lui ressemble :
ainsi une machine qui se programmerait elle-même recherchera et utilisera les informations [...] le "corps" sans conscience d'une machine ne recherchera que sa fonctionnalité...
ce qui n'est pas le cas pour l'intelligence humaine, puisque la vitalité du corps par l'esprit et la vitalité de l'esprit par le corps se perfectionnent mutuellement dans l'apport d'informations, et celles ci ne sont pas seulement des données transcriptibles en faisceaux de connexions complexes, mais une unité de maintient d'un état vital singularisé : la conscience