A Georges :
Sartre dit que nous rencontrons la liberté en situation, ce qui veut dire qu'il n'y a pas de liberté en dehors d'une situation et donc d'un choix. Ce n'est pas une liberté politique, mais ontologique. Être condamné à être libre c'est être condamné à faire des choix. On ne peut pas ne pas l'être puisqu'il en est de notre être. Mais une fois que le choix est fait, on ne parle plus de liberté ontologique. On est dans un tout autre registre. Dans la philosophie Sartrienne ce n'est pas un plaidoyer pour la liberté au sens où nous devrions nous libérer de toutes contraintes, mais que l'homme ne peut être que libre dans sa nature d'être. Ainsi, choisir d'être aliéné, par exemple, n'est pas contradictoire. Notre nature d'être restera la même, c'est-à-dire libre, même enfermés au fond d'une geôle.
Sartre dit que nous rencontrons la liberté en situation, ce qui veut dire qu'il n'y a pas de liberté en dehors d'une situation et donc d'un choix. Ce n'est pas une liberté politique, mais ontologique. Être condamné à être libre c'est être condamné à faire des choix. On ne peut pas ne pas l'être puisqu'il en est de notre être. Mais une fois que le choix est fait, on ne parle plus de liberté ontologique. On est dans un tout autre registre. Dans la philosophie Sartrienne ce n'est pas un plaidoyer pour la liberté au sens où nous devrions nous libérer de toutes contraintes, mais que l'homme ne peut être que libre dans sa nature d'être. Ainsi, choisir d'être aliéné, par exemple, n'est pas contradictoire. Notre nature d'être restera la même, c'est-à-dire libre, même enfermés au fond d'une geôle.