Dommage, Silentio, de me donner l'impression que je devrais encore intervenir pour répondre à vos attaques ("le délire que vous vous êtes choisi", "si vous daignez lire les autres", "la haute opinion que vous avez de vous-même", "pour juger du travail de Freud, encore faut-il le lire", alors que j'ai écrit que j'avais lu quasiment tous les livres de Freud,…). Et bien d'autres remarques de curieuse mauvaise foi. C'est tellement convenu.
Je pensais avoir bien exprimé ma reconnaissance pour le travail philosophique que vous avez tous accompli, qui m'a donné une très bonne impression des diplômés en Philo&Lettres alors que j'étais refroidi par le lent démarrage de la discussion et désarçonné par une approche qui m'est inconnue, et qui m'a conduit à une conclusion irrévocable : la psychanalyse ne doit pas faire partie de la philosophie. Michel Onfray hésitait dans son livre Le crépuscule d'une idole entre un Freud philosophe et un Freud écrivain. Freud n'avait pas fait "Philo&Lettres", donc ce n'était pas un philosophe. Donc, je n'hésite plus : Freud était juste un médecin écrivain, et un escroc, comme Onfray l'a bien raconté.
J'ai écrit : "En pensant avoir découvert la source d'inspiration de Freud dans un extrait de Platon, j'étais en fait en train de forcer mon esprit à confirmer la théorie de Freud". N'est-ce pas dire que j'ai compris que c'est vous qui avez raison et pas moi ? Que faut-il de plus ?
Ne me donnez pas l'impression que ma présence sur ce Forum ne sert qu'à vous faire gagner de l'argent, et laissez moi sur cette idée (que vous appelez un délire) que les philosophes sont des gens de bonne compagnie.
Si tout va bien, ceci sera ma dernière intervention.
Je pensais avoir bien exprimé ma reconnaissance pour le travail philosophique que vous avez tous accompli, qui m'a donné une très bonne impression des diplômés en Philo&Lettres alors que j'étais refroidi par le lent démarrage de la discussion et désarçonné par une approche qui m'est inconnue, et qui m'a conduit à une conclusion irrévocable : la psychanalyse ne doit pas faire partie de la philosophie. Michel Onfray hésitait dans son livre Le crépuscule d'une idole entre un Freud philosophe et un Freud écrivain. Freud n'avait pas fait "Philo&Lettres", donc ce n'était pas un philosophe. Donc, je n'hésite plus : Freud était juste un médecin écrivain, et un escroc, comme Onfray l'a bien raconté.
J'ai écrit : "En pensant avoir découvert la source d'inspiration de Freud dans un extrait de Platon, j'étais en fait en train de forcer mon esprit à confirmer la théorie de Freud". N'est-ce pas dire que j'ai compris que c'est vous qui avez raison et pas moi ? Que faut-il de plus ?
Ne me donnez pas l'impression que ma présence sur ce Forum ne sert qu'à vous faire gagner de l'argent, et laissez moi sur cette idée (que vous appelez un délire) que les philosophes sont des gens de bonne compagnie.
Si tout va bien, ceci sera ma dernière intervention.