J’avais indiqué pour simplifier "faits de société" et non simples faits purement matériels, ce qui bien entendu sous-entendait non seulement une imbrication d’événements politiques très complexes à maîtriser (étant de plus à considérer dans leur évolution historique) mais qui de plus sont toujours accompagnés d’interprétations diverses incluant des valeurs éthiques elles-mêmes difficiles à cerner.
En fait je dirais que le problème n’est pas tant que chacun soit porteur d’opinions de nature subjective, mais que chacun soit convaincu d’être dans le vrai, donc éclairé d’objectivité et de réalisme, et qualifie volontiers d’idéologie tout ce qui n’est pas concordant à sa propre vision des choses. D’où la limite de la portée du débat et de l’échange d’idées, restant bien trop souvent stériles.
Mais c’est plutôt dans l’expérience et la vie politique concrète que les plus grands enseignements se font, ce qui est regrettable car c’est beaucoup de temps et d’énergie perdus... et comprendre après coup, quand le mal est fait, c'est bien souvent trop tard.
En fait je dirais que le problème n’est pas tant que chacun soit porteur d’opinions de nature subjective, mais que chacun soit convaincu d’être dans le vrai, donc éclairé d’objectivité et de réalisme, et qualifie volontiers d’idéologie tout ce qui n’est pas concordant à sa propre vision des choses. D’où la limite de la portée du débat et de l’échange d’idées, restant bien trop souvent stériles.
Mais c’est plutôt dans l’expérience et la vie politique concrète que les plus grands enseignements se font, ce qui est regrettable car c’est beaucoup de temps et d’énergie perdus... et comprendre après coup, quand le mal est fait, c'est bien souvent trop tard.