Si l'histoire des États et de leurs relations avec les individus ne se fait qu'a posteriori, il y a à ce moment-là un cours de l'histoire des États dans lequel nous sommes impliqués et que nous appelons "actualité". C'est aussi en influençant la façon dont les actualités sont présentées qu'on peut tronquer le cours de l'histoire actuelle des États, c'est-à-dire de l'histoire politique.
Et l'histoire des attitudes et représentations, telle que Philippe Ariès l'a entreprise à propos de la mort depuis le moyen-âge, nous ne sommes pas là dans l'histoire même des actions vécues par les hommes/femmes à travers les âges ?
Et l'histoire des attitudes et représentations, telle que Philippe Ariès l'a entreprise à propos de la mort depuis le moyen-âge, nous ne sommes pas là dans l'histoire même des actions vécues par les hommes/femmes à travers les âges ?