En quoi le déterminisme philosophique a t-il été discrédité ?
Vous n'avez pas lu Spinoza pour avancer ce que vous dites de lui.
Vous n'avez pas lu Spinoza pour avancer ce que vous dites de lui.
JimmyB a écrit:L'expression de déterminisme philosophique est traditionnellement admise comme l'interprétation énoncée par Laplace dans l'Essai philosophique sur les probabilités (pages 3 et 4, consultables ici) que j'ai cité précédemment. Or la notion de prédictibilité et celle de reconstitution mentale d'un événement dans le passé ont été rejetées à cause de la physique quantique, un exemple étant donné par D. Martin avec l'effet tunnel.En quoi le déterminisme philosophique a t-il été discrédité ?
Vous n'avez pas lu Spinoza pour avancer ce que vous dites de lui.
Spinoza a écrit:La connaissance de l'union mentale avec toute la Nature. C'est donc la fin à laquelle je tends, à savoir acquérir une telle nature et faire effort pour que beaucoup l'acquièrent avec moi.
JimmyB a écrit:J'ai compris que : La liberté est la conscience des causes et des lois naturelles qui nous déterminent ; alors que le libre arbitre serait la possibilité de ne pas être contraint par l'existence d'une cause ou par une loi. Et cette liberté est elle-même accompagnée d'un accroissement de notre puissance d'agir, ce qui se manifeste chez Spinoza comme joie, plaisir, amour, gaieté, etc.La liberté existe, le libre arbitre non.
SimonM a écrit:Non, car cette phrase n'implique pas la "faculté d'obtenir les fins choisies" (opinion populaire rejetée par Sartre), simplement celle de pouvoir échapper à la pression extérieure exercée par les lois physiques
SimonM a écrit:Quant à Sartre, il voyait la liberté comme une autonomie de choix, par exemple, bien qu'un prisonnier ne soit pas libre selon l'opinion populaire (il ne peut pas marcher en dehors de sa cellule entre autres restrictions), il peut au moins essayer de s'enfuir, ce qui fait que les notions d'homme, de conscience et de liberté sont confondus chez Sartre.