Bonsoir,
Je suis d'accord, je retire mes citations poétiques et reviens à la question de Goldo qui pose encore problème sur deux points.
Dernière édition par Vangelis le Jeu 7 Sep 2017 - 10:46, édité 1 fois (Raison : Mise en forme)
Aliochaverkiev a écrit:à écrit : « Vous allez au-delà de Kant en intégrant le sentiment dans votre appréhension du présent. Vous donnez une extension puisée dans le sentiment à une étude kantienne qui se veut réduite à l'objectivité, à la froideur de l'objectivité. ».
Je suis d'accord, je retire mes citations poétiques et reviens à la question de Goldo qui pose encore problème sur deux points.
- Les choses en soi étant inaccessibles, l'objet est donné en représentation. Au cœur du concept de représentation il y a la notion de présent, d'un présent insaisissable, qui structure ce concept, l'organise, impliquant les retours, les re-présentations et par ce biais la création d'un pseudo présent, avec une pseudo durée, en pointillés, qualifiée plus haut de stroboscopique.
Mais si le présent ne dure pas, l'objet donné (le « présent »), lui, dure. Pour preuve : il est re-présentable. La saisie directe de Goldo pourrait bien se situer là, au moment (au sens de kant) où l'objet prend une permanence, devient substance, susceptible de supporter les accidents d'une existence (selon la première analogie de l'expérience).
Est-ce simplement jouer sur les mots que dire que l'objet qui nous est donné dans l'intuition sensible est un « présent » ? - Le second point concerne les deux niveaux de synthèse
Dernière édition par Vangelis le Jeu 7 Sep 2017 - 10:46, édité 1 fois (Raison : Mise en forme)